Le gouvernement tunisien a autorisé quatre projets de centrales photovoltaïques d’une capacité totale de 500 MW à des opérateurs internationaux : les Français Qair International et Voltalia et le consortium japonais-norvégien Toyota Tsusho-Scatec.
La toute première connexion au réseau d’un système hybride solaire-éolien en France a eu lieu en 2023. Cependant, depuis lors, l’hybridation de ces deux sources d’énergie ne semble pas susciter un engouement parmi les promoteurs et les investisseurs. Pourtant, des marchés comme l’Inde et le Brésil montrent que l’association du solaire et de l’éolien est non seulement techniquement et économiquement viable, mais permet également d’installer des volumes de capacité de production plus importants.
Le ministère tunisien de l’industrie, des mines et de l’énergie a sélectionné quatre projets solaires totalisant 498 MW à développer dans le pays lors de la première phase d’un appel d’offres de 1,7 GW. Le tarif le plus bas accordé était de 98,8 dinars tunisiens/MWh, soit environ 29,79 euros/MWh.
Le développeur français et la société égyptienne de distribution d’énergie ont signé un protocole d’accord pour transformer un parc éolien existant de 545 MW en un site hybride éolien-solaire de 3 GW.
Le site test de Poisy en Haute-Savoie, d’une capacité de 250 kWc, vise à étudier différentes hauteurs de panneaux solaires, afin de comparer les effets sur le microclimat, l’accès à l’ombre et le comportement des animaux par rapport à une zone témoin.
Voltalia a obtenu un contrat EPC (ingénierie, approvisionnement et construction) auprès du groupe danois Ørsted pour construire un projet de centrale solaire de 128 MW de puissance dans le comté de Carlow en Irlande.
En plus de la centrale solaire Sarimay Solar de 126 MWc, le producteur français a conclu deux nouveaux accords de partenariat portant sur l’ajout de batteries de 50 MW/100 MWh sur le complexe de Sarimay et la création d’un complexe de stockage de 500 MW/1 000 MWh.
Le pays qui veut porter la part des énergies renouvelables dans son mix de production à 35 % d’ici à 2030, a également lancé une nouvelle enchère de 1,1 GW de PV et de 600 MW d’éolien. La date butoir de la première période pour le solaire est établie au 30 mai 2024.
Le contrat prévoit une maintenance prédictive, préventive et corrective, y compris des services sur appel dans les deux heures, le nettoyage des modules, la gestion des déchets, la gestion de l’entrepôt et des pièces de rechange, ainsi que la documentation et le contrôle.
L’électricité produite par le projet Paddock sera vendue dans le cadre de contrats de vente à long terme à des entreprises (Corporate PPA). La centrale commencera à produire au cours du second semestre 2025.
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