La solution Ombrapark repose sur un procédé constructif comprenant la réalisation des fondations, quelle que soit la nature du terrain, le dimensionnement de l’ossature primaire dans le respect des exigences réglementaires et la pose de tous types de panneaux photovoltaïques, cadrés aluminium, grâce à un système d’intégration propre. « Nous faisons du sur-mesure, affirme Nathalie Orth, responsable commercial Ombrapark à pv magazine France. Il n’existe pas d’ombrière standard, avec un prix au mètre carré ou au watt-crête. Nous nous adaptons en fonction de chaque projet, en vérifiant la nature du sol par une étude G2-AV afin de dimensionner les fondations, et la compatibilité du module choisi – ou qui nous est imposé – avec notre système d’intégration. » Difficile, dans ces conditions, de pouvoir estimer le coût réel d’une installation, variable suivant le gabarit de la structure, l’architecture, le design et le type de matériaux envisagés (acier, bois massif ou lamelé collé).
Un contexte réglementaire avantageux
Déployé en France métropolitaine avec déjà plus de 100 MWc de puissance installée, soit l’équivalent de 530 000 m² de modules photovoltaïques, la solution Ombrapark, comprend l’étude de faisabilité et de rentabilité, la simulation, le calcul de productible et le dimensionnement électrique complet. Différents facteurs rentrent également en ligne de compte dans l’analyse, comme la hauteur libre, la sollicitation du vent directeur sur la structure, l’orientation de l’ombrière ou le type de raccordement au réseau. « C’est notre bureau d’études et d’ingénierie, en interne, qui s’occupe de fournir l’ensemble de ces données pour concevoir, réaliser, jusqu’à livrer, “clé en main”, la centrale photovoltaïque la mieux appropriée et la plus performante possible. Seule la maintenance est extérieure à notre lot, mais elle peut être préconisée par le sous-traitant en charge du raccordement. »
Si le photovoltaïque ne représente aujourd’hui que 20 % du chiffres d’affaires de la société, c’est la solution des ombrières photovoltaïques, qui porte aujourd’hui la croissance de la société Gagnepark, qui a réalisé l’an dernier un chiffre d’affaires de 36 millions d’euros. « On surfe sur deux lois positives en ce moment : la loi Climat et Résilience et celle du 10 mars 2023, particulièrement favorable au segment des ombrières photovoltaïques », se réjouit Nathalie Orth. Un contexte réglementaire avantageux, dont Gagnepark devrait tirer profit dans les prochains mois.
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