Le gouvernement néerlandais déclare que la production à grande échelle de panneaux solaires n’est plus viable, mettant fin aux incitations SolarNL pour les produits intégrés aux bâtiments et aux véhicules, les modules à hétérojonction, et les panneaux en tandem pérovskite-silicium.

Une équipe de recherche du National Renewable Energy Laboratory (NREL) des États-Unis a analysé des modules de type n installés dans un projet photovoltaïque commercial de 3 MW, dans le but d’évaluer le taux de dégradation élevé signalé par le propriétaire de l’installation. Les scientifiques ont constaté que la dégradation induite par les ultraviolets (UVID) était un facteur majeur affectant les performances de la centrale.

D’ici fin 2025, l’installation d’un compteur intelligent sera obligatoire pour les habitations équipées de panneaux photovoltaïques dans la région flamande de Belgique. Selon l’opérateur de réseau Fluvius, un groupe de propriétaires ayant installé des panneaux solaires entre 2014 et la fin 2020 reste éligible à une prime d’investissement rétroactive.

Le résultat en matière de rendement a été confirmé par le Laboratoire national des énergies renouvelables (NREL) des États-Unis. Le module a été fabriqué à partir de cellules en kësterite avec un rendement de 13,4 %, conçues avec une porosité et une homogénéité élevées du film.

Saudi Power Procurement Co. (SPPC) a annoncé une demande de qualification (RFQ) pour une capacité solaire de 3,1 GW répartie sur quatre projets, dans le cadre de la septième phase du programme d’appel d’offres pour les énergies renouvelables d’Arabie saoudite.

Des chercheurs en Allemagne ont créé un outil complet de sélection des cultures pour l’agrivoltaïsme, couvrant plus de 25 pays. La matrice proposée évalue les réponses spécifiques de 12 types de cultures majeures à l’ombrage, aux changements de microclimat et à la croissance, tout en tenant compte de leurs besoins en eau, de leur tolérance à l’ombre et de leurs exigences spatiales.

De nouvelles recherches menées en Hongrie montrent que les épisodes de poussière saharienne peuvent réduire la production d’électricité solaire photovoltaïque de 25 à 40 % en moyenne dans cinq pays méditerranéens, avec des baisses pouvant atteindre 50 %. Les chercheurs soulignent l’importance d’intégrer la surveillance en temps réel des poussières et les interactions nuageuses dans les prévisions solaires.

Des chercheurs des Sandia National Laboratories ont créé un nouveau jeu de données sur les taux et les types de défaillances des connecteurs utilisés dans les systèmes photovoltaïques (PV) en toiture. Leur analyse a montré que les rayons de courbure trop serrés des câbles, les connecteurs particulièrement encrassés et les écrous desserrés sont les causes de défaillance les plus fréquentes parmi les 6 276 connecteurs déployés entre 2014 et 2017 dans sept régions des États-Unis.

Les nouveaux produits sont disponibles en neuf versions, avec une puissance allant de 620 W à 660 W et un rendement de conversion énergétique compris entre 23,0 % et 24,4 %. Canadian Solar indique que les panneaux affichent une empreinte carbone de 285 kg CO₂eq/kW, ce qui serait l’une des plus faibles parmi tous les modules solaires à base de silicium dans le monde.

Le panneau Tiger Neo 3.0 présente un facteur de bifacialité de 85 %, ce qui se traduit par une production de puissance arrière de 553 à 570 W, selon le fabricant chinois. Le nouveau produit est présenté comme « le module solaire le plus puissant au monde ».