Selon de nouvelles recherches menées au Royaume-Uni, les parcs solaires peuvent aider à maintenir des habitats naturels pour les espèces pollinisatrices, à condition de créer des conditions d’alimentation, de reproduction et climatiques favorables.
Cette nouvelle série de panneaux à hétérojonction présente un rendement allant jusqu’à 21,9% et un coefficient de température de -0,26% par degré Celsius.
Cette cellule – qui, selon l’institut de recherche allemand, peut être utilisée dans les avions et les drones à propulsion électrique – a été élaborée avec des couches de semi-conducteurs III-V connectées à la sous-cellule de silicium.
La société britannique Xlinks prévoit de construire un complexe éolien et solaire de 10,5 GW au Maroc et de vendre l’électricité produite par cette énorme centrale au Royaume-Uni. Cela devrait être possible grâce à une ligne de transport à courant continu haute tension (HVDC, en initiales anglaises) de 3 800 km reliée à des sites au Pays de Galles et dans le Devon. Le PDG de l’entreprise, Simon Morrish, s’est entretenu avec pv magazine au sujet de cet ambitieux projet et de la manière dont il pourrait devenir réalisable.
Les deux sociétés sollicitent des propositions pour alimenter l’usine de combustible synthétique de Sasol à Secunda, Mpumalanga.
Dévoilé en octobre 2020, le panneau est le plus puissant de la gamme du fabricant à ce jour. Le groupe sino-canadien prévoit d’atteindre, pour ce produit, une capacité de 10 GW d’ici la fin de l’année.
Un consortium allemand construit un prototype de camionnette alimentée par dix modules photovoltaïques comportant les cellules à hétérojonction de Meyer Burger. Interrogé par pv magazine, le chercheur Robby Peibst estime que le marché du photovoltaïque intégré aux véhicules (VIPV) pourrait atteindre 5 GW d’ici 2030.
Deux études récentes montrent que de nombreuses institutions mondiales évaluant les voies de décarbonation dans le monde ne prennent pas suffisamment en compte la baisse des coûts et utilisent des LCOE trop élevés pour la technologie solaire d’ici à 2050. Résultat, le potentiel de l’énergie photovoltaïque dans le futur mix énergétique est systématiquement sous-estimé.
Des scientifiques de l’Institut des Nanotechnologies de Lyon (INL) ont proposé d’utiliser le refroidissement radiatif du ciel (RSC, en initiales anglaises) pour réduire de 10°C la température de modules PV. Cette méthode pourrait améliorer les performances de plus de 5 W/m2.
L’institut de recherche néerlandais TNO a publié une série de directives visant à réduire les risques d’incendie dans les installations photovoltaïques sur les toits. L’étude fait suite à une série d’accidents d’incendie survenus entre 2018 et 2020 aux Pays-Bas, dont les principales causes ont été identifiées.
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