Via sa branche locale GreenYellow Océan Indien, la filiale du groupe Casino remporte le projet dans le cadre d’un appel d’offre de l’opérateur national CEB pour un tarif de 2,75 roupies mauriciennes par kilowattheures (0,056 euros). La centrale devrait être mise en service au deuxième semestre 2023 et produire quelque 22 GWh d’électricité par an.
Profitant du réseau mondial et des actifs de Mitsui, cette alliance stratégique a pour but d’aider l’entreprise française spécialisée dans l’hydrogène renouvelable Lhyfe à identifier des opportunités commerciales, à améliorer sa compétitivité et à poursuivre son expansion à international.
Des chercheurs mexicains ont étudié un système de production électrique à partir d’hydrogène intégré à un micro-réseau rural existant. Selon eux, cette solution pourrait devenir compétitive si les coûts des électrolyseurs, des piles à combustible et des réservoirs d’hydrogène sont réduits de moitié, ou si les prix du diesel continuent d’augmenter.
Lancée en mars 2022 au Kenya et au Rwanda, la marque Flexx compte deux produits solaires hors réseau d’entrée de gamme : une lanterne solaire « plug and play » et un système solaire multi-lumière basé sur le modèle Pay-As-You-Go. En République démocratique du Congo, Bboxx signe un nouveau partenariat avec le gouvernement qui devrait s’efforcer de « supprimer la TVA sur la vente de systèmes solaires et de solutions de cuisson propres, ainsi que les droits d’importation sur les systèmes solaires et les équipements d’énergie propre ».
La filiale française du groupe SPIE s’est chargée de la conception et de la réalisation du poste d’évacuation connecté au réseau 63 kV, du réseau secondaire HTA 20 KV, du branchement des 173 onduleurs photovoltaïques ainsi que du contrôle-commande de l’ensemble, un lot hautement technique selon l’entreprise.
La branche mini-grid d’Engie en Afrique vient de signer un accord dans le cadre du programme d’électrification nigérian de la Banque mondiale (NEP) de l’Agence d’électrification rurale du Nigéria (REA).
Le programme d’Eric Zemmour se distingue par l’absence de stratégie de développement des énergies renouvelables, la priorité du candidat étant de relancer les investissements dans le nucléaire avec notamment l’ouverture de 14 nouveaux EPR d’ici 2050. Il veut mettre fin à tous les projets éoliens et ne précise pas la place du solaire dans le futur mix électrique. Eric Zemmour prévoit d’investir dans l’isolation des bâtiments et le déploiement de la filiale hydrogène au côté des autres technologies de transports décarbonés mais manque de proposer des plans de recherche et d’innovation adéquats ou de préciser les financements mis en place pour intégrer ces mesures.
Pour répondre à l’urgence climatique, le candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) propose un programme écosocialiste qui comprend la sortie du nucléaire en dix ans, le développement des énergies renouvelables, la création de services publics de l’énergie avec la nationalisation d’EDF, Engie, Veolia et de Total et la réquisition des banques privées pour orienter les investissements vers des projets écologiques. Si Philippe Poutou entend planifier et faire de la transition écologique une priorité, son agenda semble optimiste par rapport aux scénarios RTE et la nature révolutionnaire de ses propositions rend difficile l’analyse projective.
Jean Lassalle, du parti Résistons !, prône un investissement dans les énergies marines et le photovoltaïque, mais veut stopper l’éolien. Sa politique énergétique repose avant tout sur le développement du nucléaire de 4e génération et sur la fusion.
Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 « sans hausse d’impôt », la candidate des Républicains veut mettre en place une politique énergétique axée sur la production électrique nucléaire. Les énergies renouvelables ne sont évoquées que pour les dispositifs de production de chaleur (géothermie, biomasse, déchets) et le développement éolien sera soumis à l’adhésion des populations. Valérie Pécresse met sur la table une enveloppe de 120 milliards d’euros pour la transition écologique qui comprend notamment l’électrification des transports particuliers et la rénovation énergétique des bâtiments.
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