Le groupe enoé se rapproche de la société de prospection et négociation foncière O’Box Immo pour développer et construire de nouveaux projets photovoltaïques en toiture et au sol. Avec quelque 500 MW de projets en développement aujourd’hui, le jeune énergéticien vise un portefeuille de centrales EnR d’au moins 1 GW d’ici 2027.
Aujourd’hui et pour les prochaines années, l’Afrique subsaharienne fait face aux questions inhérentes à l’accélération forcée de son développement énergétique. La mauvaise couverture ou qualité du réseau actuel, la dissémination géographique de la population, couplée à un faible pouvoir d’achat, entrainant un coût prohibitif d’extension du grid (réseau électrique) pour les opérateurs électriques nationaux qui rencontrent déjà des difficultés opérationnelles et financières sont autant de freins au développement économique et social de la région. Dans ces conditions, le déploiement rapide de l’énergie solaire distribuée – particulièrement adaptée au contexte sub-saharien et fortement créatrice d’emploi – est un enjeu majeur d’avenir.
52 lauréats, pour un total de 157,14 MWc, ont été désignés par le Ministère de la transition écologique pour la réalisation d’installations photovoltaïques sur bâtiments, serres, hangars agricoles et ombrières de parking d’une puissance de plus de 500 kWc. Le prix moyen proposé est de 83,12 €/MWh.
Avec une puissance allant jusqu’à 410 Wc, le module répond aux critères des appels d’offres CRE4 et PPE2, et du guichet ouvert 500 kWc pour les installations en toiture.
Outre la baisse des prix des panneaux, le cabinet d’analyse prévoit une forte croissance de l’activité de stockage et une augmentation significative du nombre de PPA pour les projets en Europe. Il précise également que la capacité photovoltaïque nouvellement installée pour 2021 a atteint 183 GW.
Le ministère philippin de l’énergie espère attribuer 1 260 MW d’énergie solaire dans le cadre de cet appel d’offres.
Située à Cesson-Sévigné (Ille et Vilaine), la future zone d’activités, qui accueillera à partir de 2022 une vingtaine de PME industrielles et artisanales, impose dès la conception des immeubles et entrepôts l’installation de panneaux photovoltaïques en toiture ou en ombrières pour réduire les coûts et augmenter la part de production d’énergies renouvelables sur la métropole de Rennes.
Le bâtiment de 12 000 m2, qui a été équipé d’une centrale PV en toiture de 480 kWc et de batteries lithium de 304 kWh, produit plus d’électricité qu’il n’en consomme. De plus, l’éclairage à lampes à iodure a été remplacé par des LED et le chauffage au gaz par des pompes à chaleur air/air.
A la suite d’une étude qu’elle a commandée, Greenpeace a établi que la Suisse pourrait assurer son approvisionnement énergétique futur en accélérant le développement des installations solaires. Pour ce faire, l’association demande qu’au moins 38 TWh soient générés annuellement à partir d’EnR (et principalement du photovoltaïque) en 2035, contre les 17 TWh prévus annuellement aujourd’hui.
Atteindre au moins 30 TWh de production solaire en 2035, augmenter le supplément réseau de 0,5 centime par kWh ou encore encourager les Communautés énergétiques locales fait partie des mesures indispensables, selon l’organisation professionnelle, pour accélérer le développement du photovoltaïque dans le pays d’ici à 2050.
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