Malgré la crise, Lendopolis, plateforme de financement participatif, vient d’annoncer avoir passé le cap des 60 millions d’euros collectés en faveur de projets renouvelables depuis 2014.
Le producteur indépendant d’énergie renouvelable développe des centrales solaires « nouvelle génération », des centrales intelligentes associant photovoltaïque et stockage. Le concept et le modèle économique de la start-up ont convaincu les investisseurs Demeter, HTGF, EverWatt et Ze Way Invest.
La société d’investissement RGreen Invest a réalisé le second closing de son fonds Infragreen IV dédié aux projets liés à la transition énergétique et climatique, le portant à 441 millions d’euros.
Depuis 2008, le groupe industriel a investi près de 100 millions d’euros dans le solaire. Spécialisé dans le photovoltaïque organique, il consolide ses investissements en se concentrant notamment sur la R&D, les partenariats et les certifications en 2020. Il continuera à s’introduire dans de nouveaux secteurs tels que les secteurs maritime et automobile. « Concrètement pour Armor, cela représente la création de plusieurs centaines d’emplois dans les prochaines années » déclare Hubert de Boisredon, le président-directeur général d’Armor.
McPhy annonce avoir été sélectionné par Hympulsion, la société qui déploie le projet, pour équiper le plus grand programme de déploiement de mobilité hydrogène zéro-émission en France et l’un des plus ambitieux au niveau européen : Zero Emission Valley.
Le contrat d’achat direct d’électricité renouvelable porte sur une durée de 15 à 20 ans et sur une capacité de 40 MW. Il devrait couvrir environ 2 % de la consommation d’électricité nécessaire à la circulation de l’ensemble des trains de SNCF Voyageurs, dont l’ambition est d’atteindre 40 à 50 % d’énergies renouvelables dans son mix de consommation d’électricité pour la traction des trains à l’horizon 2025. De nouvelles centrales photovoltaïques dédiées seront construites dès l’année prochaine dans les Alpes de Haute-Provence.
Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et le cabinet EY ont analysé l’impact du développement des énergies renouvelables, tel que prévu par la Programmation pluriannuelle de l’énergie, sur l’économie française. 100 000 nouveaux emplois pourraient être crées et la valeur ajoutée générée chaque année par les énergies renouvelables pourrait atteindre 24 milliards d’euros en 2028, dont 80 % localisés en France, montre leur étude. Dans le solaire photovoltaïque, le nombre d’emplois pourrait augmenter de 53 %.
L’opérateur renouvelable Valorem vient d’annoncer un bond de 45% de son chiffre d’affaires pour 2019, à 89 millions d’euros et une production électrique en hausse de 21% à 717 GWh.
L’acteur financier a conclu un partenariat, via son fonds Capenergie 4, avec Ilos New Energy en Allemagne pour créer une plateforme de projets solaires pan-européenne dépassant 1,5 GW, et avec Prosolia Energy en Espagne lui permettant de mettre en service des projets photovoltaïques sans subvention. La stratégie des fonds Capenergie d’Omnes consiste à apporter des capitaux à des développeurs d’énergies renouvelables européens pour leur permettre de devenir des producteurs d’électricité indépendants.
Le rapport « sur la situation mondiale des énergies renouvelables 2020 » – publié ce jeudi par Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), le Centre de collaboration Frankfurt School-UNEP et BloombergNEF (BNEF) – estime que « la baisse des coûts des énergies renouvelables offre l’opportunité de stimuler l’action en faveur du climat dans les plans de relance économique post-Covid-19 ».
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