France

L’entreprise suisse, aux côtés de Invenio et de Amarenco, veut étudier l’impact de sa solution photovoltaïque THEIA sur le rendement agricole et la qualité des fraises, afin de la dupliquer sur d’autres exploitations de fruits rouges.

Le développeur et producteur d’EnR a obtenu un financement auprès de la société d’investissement parisienne ETIC pour soutenir et développer son portefeuille de 200 actifs PV sur bâtiment qui cumulent une capacité de 22 MW. L’objectif est d’optimiser financièrement les projets en exploitation et de financer la construction de nouvelles centrales.

D’une puissance de 2 MW, la centrale est installée sur le toit de la plateforme logistique Biocoop à Ollainville, en Essonne, et produira 1,8 GWh d’électricité par an.

Evolution de son prédécesseur (le Flash 375 Shingle), il est entièrement noir et est conçu pour les projets d’autoconsommation en toiture résidentielle ou C&I. Son rendement est de 20,4 %.

Le centre inauguré par Soren et Envie 2E Aquitaine à Saint-Loubès à côté de Bordeaux permet d’extraire des fractions de composants plus purs, avec de faciliter leur réutilisation comme matière première.

L’investissement corporate de 3 millions d’euros permettra à Enoé, qui développe, construit et exploite des centrales solaires sur toitures (bâtiments agricoles, ombrières de parking, etc.) et des centrales solaires au sol (friches industrielles, agrivoltaïsme…), d’accompagner sa croissance.

Dans le cadre d’un partenariat stratégique, Saint-Gobain a pris une participation minoritaire dans le fabricant suisse de modules solaires intégrés aux bâtiments (BIPV) Megasol.

Pour se déplacer, mais aussi stocker de l’énergie : lors d’une table ronde organisée lors de l’Université de l’autoconsommation d’Enerplan, trois experts sont venus faire la démonstration des services que peuvent rendre les véhicules électriques lorsqu’ils sont utilisés en stockage stationnaire, via une borne de recharge bidirectionnelle.

Lauréate d’un appel d’offres de la CRE, la centrale de Retzwiller injectera l’électricité produite au réseau alsacien pour un prix inférieur à 60 euros du mégawattheure. Porté par Tryba Energy, le projet a principalement fait appel à des acteurs locaux et français pour les équipements et les travaux. Il sort de terre avec beaucoup de retard, principalement du aux difficultés d’approvisionnement et à la montée des prix liés au covid et à la guerre en Ukraine.

RTE et le CEA-INES expérimentent actuellement à grande échelle un système de supervision et de gestion de la recharge des véhicules électriques des employés du CEA. Les premiers résultats montrent qu’il est possible d’augmenter la part solaire dans l’énergie utilisée par les bornes de 34 à 90 % grâce au pilotage de la recharge des véhicules.