Grâce à l’expertise de l’association Noé sur la biodiversité, le développeur s’engage à créer des jachères fleuries et des pelouses calcicoles autour de ses parcs solaires et éoliens. A partir de cet été, un suivi scientifique sera également réalisé afin de déterminer l’impact de la restauration du milieu naturel sur les populations de pollinisateurs et accroître les connaissances sur les besoins de ces insectes.
Les centrales, installées sur des toits et au sol dans sept Etats américains, génèreront un total de 38,3 MWc d’électricité.
L’entreprise Engie Green s’est associée aux associations France Nature Environnement et Apicluster afin d’installer des ruches sur plusieurs de ses parcs solaires photovoltaïques de de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. L’opération vise également à former de nouveaux apiculteurs en transition professionnelle.
Selon de nouvelles recherches menées au Royaume-Uni, les parcs solaires peuvent aider à maintenir des habitats naturels pour les espèces pollinisatrices, à condition de créer des conditions d’alimentation, de reproduction et climatiques favorables.
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