La Commission nationale du débat public (CNDP) a tiré les enseignements des semaines de rencontres avec le grand public autour du futur complexe bas-carbone Horizeo, en matière d’acceptation des énergies renouvelables par la population, et a formulé ses recommandations.
Le groupe énergétique français publie le bilan financier de l’année 2021 et annonce la mise en service de 1,1 GW d’actifs solaires. Le chiffre d’affaires de ses activités renouvelables (qui comptent les actifs éoliens et de gaz naturels) s’est élevé à 3 661 millions d’euros, soit une hausse de quelque 25 % par rapport à 2020.
Huit grands groupes européens, dont Akuo, Amarenco, EDF et Engie pour la France, ont écrit à la Commission européenne pour demander une stratégie européenne visant à renforcer la chaîne de valeur de l’énergie solaire photovoltaïque.
Une centrale photovoltaïque en toiture et en ombrières de parking de 355 kWc sera mise en service au deuxième semestre 2022 et permettra de couvrir près de 60 % de la consommation diurne du centre de gestion des données informatiques.
Le débat public portant sur la plateforme photovoltaïque géante Horizeo en Gironde a finalement aboutit le 9 janvier. Engie, Neoen et RTE devront attendre le rapport de la Commission nationale du débat public et l’enquête publique prévue pour fin 2023 avant d’éventuellement démarrer le méga-projet qui prévoit l’installation d’un parc solaire de 1 GW, d’un électrolyseur, d’un data center et d’une surface d’agrivoltaïsme sur 1000 hectares de ce qui est aujourd’hui une forêt de de pins maritimes.
Mis au point par la société canadienne Hydrogen Optimized, l’électrolyseur peut être utilisé pour stabiliser les réseaux électriques et optimiser la récupération d’énergie à partir de sources d’énergie renouvelables intermittentes telles que le solaire et l’éolien. Par ailleurs, cette semaine, quatre autres grands partenariats internationaux pour le développement de l’hydrogène vert ont été annoncés en Allemagne, au Moyen-Orient et en Australie.
Les cinq projets solaires totalisent 500 MW de puissance et devraient obtenir les dernières autorisations concernant les contrats de production d’électricité et les conventions d’occupation des site et de leurs annexes. La construction et la gestion sur 20 ans de ces installations avaient été attribuées à différents consortiums internationaux comportant Engie, le groupe pétrolier ENI, le Norvégien Scatec Solar et le groupe chinois TBEA.
La transaction porte sur l’exploitation de 899 MW d’actifs opérationnels (821 MW d’éolien terrestre et 78 MW de solaire) et d’un portefeuille de 1,2 GW de projets renouvelables. Après le rachat du portefeuille hydroélectrique de 1,7 GW au Portugal d’EDP en 2020 et de l’Espagnol Sofos fin octobre, Engie se renforce sur la péninsule ibérique, un marché en forte progression.
Engie se défait d’un nouveau pan de son activité. L’industriel géant énergétique français a annoncé la vente à Bouyges de sa filiale de services techniques Equans valorisée à 7,1 milliards d’euros. Cette opération devrait permettre à Engie de réduire sa dette nette et de se concentrer sur les quatre nouvelles unités d’activités qu’il a sélectionné. Reste à voir si le solaire saura tirer son épingle du jeu dans la stratégie renouvelable du groupe français.
Lors du 5ème round du programme sud-africain d’achat indépendant d’énergie renouvelable (REIPPPP), Engie, TotalEnergies et EDF Renewables ont remporté 729 MWc de projets solaires et éoliens. Le prix moyen dans le solaire se situe à 24,91 euros/MWh.
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