L’association Hespul propose qu’un forfait de raccordement au kW soit mis en place pour les installations photovoltaïques inférieures ou égales à 500 kW. Celui-ci donnerait une visibilité sur le coût de raccordement beaucoup plus tôt dans le projet et permettrait de créer une solidarité entre les producteurs, limitant ainsi fortement le nombre d’abandons.
Les signataires de cette tribune – Hespul, Sergies, Energie Partagée, Soper et Enercoop – demandent à ce que la création d’un fonds de garantie ne soit pas réservée aux seuls contrats de vente directe aux gros consommateurs industriels de plus de 10 GWh par an, afin de ne pas freiner l’essor des PPA et de ne pas exclure toute une catégorie d’acteurs du monde de l’énergie.
L’arrêté tarifaire pour le photovoltaïque est entré en vigueur le 9 octobre 2021. Auparavant fixé à 100 kWc, le seuil maximum pour bénéficier du guichet ouvert passe à 500 kWc. Les tarifs en dessous de 100 kWc sont dans la continuité du précédent arrêté, ceux entre 100 et 500 sont fixés à 9,8 c€/kWh pour les premiers mois.
Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement (AURA-EE), Enedis et Hespul s’associent autour du projet FlexCantal pour porter une expérimentation visant à augmenter la pénétration du photovoltaïque dans les réseaux électriques ruraux.
Alors que la hausse du seuil de l’obligation d’achat à 500 kW prévue dans le futur arrêté tarifaire va encourager le développement de projets dans la tranche de 100 à 500 kW, l’association Hespul s’est penchée, lors d’une session en ligne jeudi 17 juin, sur la question du raccordement de ces installations. Ce segment de marché, jusqu’alors largement délaissé, présente des conditions particulières.
Le premier constat à faire à la lecture des propositions de la Convention citoyenne pour le climat, c’est que des personnes tirées au sort, dès lors qu’elles prennent le temps d’être correctement informées et d’écouter les experts sur un sujet compliqué, parviennent à des conclusions et des recommandations détaillées étonnamment proches de celles de la « société civile organisée » que constituent les ONG dont Hespul fait partie : de quoi donner de l’espoir à une époque où les réseaux sociaux reprennent en boucle fake news et autres idées reçues, notamment sur les questions environnementales, énergétiques et climatiques.
L’association de promotion du photovoltaïque et le centre de formation souhaitent chacun profiter de l’expérience de l’autre dans leurs domaines d’expertise : le photovoltaïque pour Hespul et les réseaux électriques pour Formapelec.
La crise sanitaire a fait prendre conscience à tout un chacun que la mondialisation et la délocalisation de l’industrie ont rendu notre société extrêmement vulnérable dans les domaines de la santé publique et de l’agroalimentaire marqués par une très forte dépendance de pays éloignés.
Au Journal Officiel du 2 avril est paru un décret daté du 31 mars 2020 portant modification de la partie réglementaire du code de l’énergie relative aux schémas régionaux de raccordement au réseau des énergies renouvelables (S3RENR). Au titre des nouveautés, le seuil de paiement de la quote-part des S3RENR est porté à 250 kVA, ce qui devrait favoriser les producteurs photovoltaïques raccordés en basse-tension.
« Bien que la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE) présente des objectifs à 2028 ambitieux concernant le développement de la filière photovoltaïque, elle ne se donne pas pour autant les moyens de les atteindre, » signale dans une contribution à la PPE, l’association de promotion du photovoltaïque, Hespul. Cette dernière propose ainsi trois mesures phares, pour doper la filière.
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