parc éolien

Le producteur portugais d’énergie dispose actuellement de 300 MW de capacité hybride installée en Europe et prévoit de connecter au réseau plus de 750 MW de capacité solaire+solaire colocalisée dans un futur proche.

Dans le cadre de sa stratégie nationale, le Royaume veut mettre à disposition des investisseurs privés une première phase de 300 000 hectares, répartis en lots de 10 000 à 30 000 hectares, pour des projets intégrés de production d’énergies renouvelables, d’hydrogène vert et de ses dérivés comme l’ammoniac vert.

La première phase a une capacité de 551 MW et le parc situé dans l’État du Gujarat en Inde aura à terme une capacité totale d’énergies renouvelables de 30 GW.

Par l’intermédiaire de sa filiale ERG Eolienne France, l’énergéticien génois a racheté auprès de Q Energy France plusieurs centrales solaires et un parc éolien situés en France pour une capacité totale de 73,2 MW.

Il s’agit du premier actif solaire du Français dans le pays, où il exploite déjà le parc éolien de Storbrännkullen et la batterie Storen Power Reserve. La construction a été confiée à un consortium constitué de Bouygues Energies & Services et de Solkompaniet. 

Le producteur-fournisseur s’appuie sur plusieurs de ses parcs photovoltaïques, éoliens et hydroélectrique, ce qui lui permet de répondre aux contraintes de consommation saisonnière et d’assurer un approvisionnement en électricité verte tout au long de l’année.

Le producteur d’EnR a indiqué que sur la première partie de l’année 2023, il avait lancé six nouveaux chantiers d’énergie renouvelable pour un total de 120 MW. Sur la deuxième partie de l’année, il prévoit plusieurs démarrages de projets, représentant un portefeuille additionnel de plus de 200 MW dans le solaire et l’éolien.

Face à des temps d’instruction des dossiers qui frôlent les huit ans et à des recours quasi-systématiques, certains développeurs de parcs éoliens augmentent leurs capacités dans le solaire. Pas question pour autant d’abandonner totalement l’éolien, les deux sources d’énergie étant vues comme complémentaires. pv magazine France a mené l’enquête auprès de plusieurs d’entre eux.

Cette nouvelle opération de croissance externe, qui concerne quatre parcs éoliens et une centrale agrivoltaïque, vise à contribuer aux objectifs de la société nîmoise, dont le portefeuille de développement est actuellement de 2 507 MW. Elle ambitionne de disposer de 3,5 GW en développement et de renouveler l’équivalent de 100 MW à horizon 2025.

Grâce à un outil de traçabilité, les particuliers, les entreprises et les collectivités ayant souscrit à un contrat de fourniture d’électricité chez Volterres peuvent suivre en temps réel la provenance de leur approvisionnement électrique, et notamment la part d’électricité provenant directement des parcs d’énergie renouvelable situés à proximité.