Sur le site des Fonderies d’Ingrandes, fermé en 2022 et repris en 2023 par un consortium formé par TSE et Lhyfe, une centrale photovoltaïque au sol, produisant 45 GWh/an d’électricité, sera construite pour permettre d’alimenter une partie de la consommation de l’électrolyseur.
Un tiers des prairies en France sont dites temporaires, c’est-à-dire qu’elles alternent des périodes pendant lesquelles le terrain est en prairie et d’autres où il est en culture. TSE propose donc une solution agrivoltaïque hybride, qui répond aux exigences agricoles de ces deux configurations.
L’opération permettra la construction et l’exploitation d’un portefeuille de sept parcs solaires au sol d’une puissance totale de 120 MW répartis dans les Ardennes, en Seine-Maritime, dans le Cher, dans le Nord et dans le Loiret.
L’opération effectuée auprès du fonds Eiffel Investment Group permettra au producteur d’énergie de financer un plan d’investissement représentant une capacité photovoltaïque cumulée de 800 MW.
Via ce premier CPPA contractualisé avec TSE, Albéa sécurisera plus de 20% son approvisionnement en électricité renouvelable pour tous ses sites de production en France.
Noriap et TSE ont signé le premier contrat issu de leur partenariat établi en avril dernier. Ce projet porte sur l’installation d’une ombrière de culture équipée d’un ombrage tournant sur une exploitation agricole dans la Somme (Hauts-de-France).
TSE apportera sa bonne connaissance du marché français, tandis que Soltec fournira son expertise dans les trackers photovoltaïques et les algorithmes de pilotage. Ensemble, ils veulent développer des solutions pour l’agrivoltaïsme dynamique en France.
Sept zones ont déjà été identifiées par TSE sur le territoire de la coopérative qui compte 8 200 agriculteurs partenaires, répartis sur 160 silos. Les premiers projets se feront dans les Hauts-de-France et en Seine-Maritime.
L’ombrière de trois hectares vise à protéger les cultures de blé, mais aussi de luzerne et d’orge, des aléas climatiques, en particulier des fortes variations de températures, des longues périodes sans eau et des épisodes très pluvieux ou de grêle.
Initialement financés en fonds propres, les quatre projets sont visés par des tarifs d’achat de la CRE et des PPA. « A cette opération en dette, suivra un co-financement en fonds propres avec des partenaires qui sont actuellement en cours d’analyse du dossier », a confié TSE à pv magazine France.
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