Ce matin, pv magazine assiste à l’ouverture de l’Université de l’autoconsommation photovoltaïque organisée par Enerplan ces 21 et 22 septembre en plénière physique et digitale. Les acteurs de l’innovation solaire et de l’autoconsommation en France sont réunis pour discuter des problématiques du secteur à travers des tables rondes et des sessions interactives. Notre série d’articles vous rendra compte des échanges au fil de l’eau.
Au 1er juillet 2021, la France comptait plus de 710 points de recharge rapide, soit une augmentation de 48 % en 6 mois et de 26 % depuis fin mars, indique le dernier indicateur de suivi de l’UFE (Union française de l’électricité) sur le taux d’équipement des aires de service en France afin d’observer le déploiement de bornes rapides sur autoroutes.
L’Union française de l’électricité estime que la méthodologie normative de révision tarifaire envisagée conduit à sous-estimer d’environ 35 % les coûts d’investissement et de 50 % les charges d’exploitation des installations frappées par le dispositif de renégociation rétroactive, ce qui est de nature à en menacer la pérennité. Elle propose en conséquence une méthodologie alternative prenant en compte les contraintes économiques des contrats PV sur la base d’une étude objective et robuste menée auprès des producteurs concernés à partir de leurs coûts réels.
A fin décembre 2020, la France compte 34 273 points de recharge accessibles au public et 443 560 véhicules électriques et hybrides rechargeables en circulation depuis 2010. C’est ce qu’indique la troisième édition de l’outil cartographique de l’UFE (Union française de l’électricité) rendue publique hier mardi.
Presque un an jour pour jour après la promulgation de la loi d’orientation des mobilités (LOM), l’Avere-France, le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), France Hydrogène (ex-Afhypac), la Plateforme automobile (PFA) ainsi que l’Union française de l’électricité (UFE) ont publié hier mardi, un rapport commun autour de l’objectif 2040 inscrit dans cette loi et du rôle que l’électromobilité joue et jouera dans l’accélération des ventes de véhicules à faibles émissions.
La filière électrique s’est investie, depuis 18 mois, dans une démarche prospective sur les emplois et besoins en compétences en lien avec la transition énergétique et numérique. L’étude qui vient d’être publiée comptabilise, en 2018, quelque 600 000 emplois dans cette filière, dont la moitié pour le secteur électrique proprement dit (hors bâtiment, transport/villes et industrie). Les énergies renouvelables représentent environ 49 000 emplois, dont 12 000 pour l’hydraulique.
Session à distance dense pour le Conseil supérieur de l’énergie (CSE), le 28 avril prochain. Aux côtés de l’autoconsommation collective, l’autorité est chargée d’examiner un projet d’arrêté ouvrant un cadre aux offres de raccordement intelligentes (ORI) qui peuvent être proposées à un producteur d’énergie par les gestionnaires de réseaux d’électricité. Ces offres alternatives aux offres de référence permettent de limiter le coût du raccordement en contrepartie d’une limitation de la puissance injectée en cas de contrainte sur le réseau.
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