Ciel et Terre innove avec deux nouveaux modèles de flotteurs

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L’entreprise lilloise Ciel et Terre enrichit sa gamme de structures flottantes flexibles Hydrelio, avec le développement d’un nouveau flotteur, l’Hydrelio aiR Optim. Fonctionnant toujours selon le principe « un flotteur, un panneau » de la série Hydrelio, il s’agit « d’une version optimisée qui s’adapte à l’augmentation de la dimension et du poids des panneaux photovoltaïques », comme le précise Vincent Grumetz, directeur général EMEA de Ciel et Terre à pv magazine France.

Le nouveau flotteur Hydrelio aiR Optim.

Image : Ciel et Terre International

Les flotteurs en PEHD recyclable ont donc été agrandis et les propriétés de flottaisons ont été augmentées pour supporter de plus larges modules, jusqu’à 670 Wc. Ils sont également plus hauts et offre un confort d’utilisation plus élevé. « La liaison entre les flotteurs rend la structure flexible. Ce produit convient donc parfaitement aux étendues d’eau agitées, comme les réservoirs de barrage, ou soumises à des vents forts ou à des bassins qui peuvent être complètement vidés », poursuit Vincent Grumetz. Les premiers projets chez ses clients verront le jour fin 2022.

En complément, la société dévoile un nouveau système rigide, cette fois adapté aux eaux calmes (lacs, bassins de stockage…). Compatible avec les modules M10 et M12, il se compose d’une structure métallique fixée sur les flotteurs en HDPE. « Cela nous permet de rapprocher les panneaux photovoltaïques et donc de densifier le nombre de modules sur une superficie plus restreinte, observe Vincent Grumetz. Les modules sont installés en mode portrait en orientation sud ou est-ouest ». Par ailleurs, grâce à sa grande flottabilité, cette technologie résiste à des charges de neige plus élevées, un élément important dans des régions comme le Nord des Etats-Unis, le Canada, la Suisse ou le nord de l’Italie, où le recours au solaire flottant est en progression. Le premier projet client interviendra au 2ème semestre 2022.

La structure flexible s’adapte aux étendues d’eau agitées.

Image : Ciel et Terre International

« Ces deux solutions, l’une flexible et l’autre rigide, sont complémentaires, constate Vincent Grumetz. Elles nous permettent d’apporter une solution adaptée aux contraintes de nos clients, en prenant en considération la typologie de leur projet ». A ce jour, Ciel et Terre possède dans le monde 650 MW de capacité installée et un portefeuille de 1,2 GW en développement.

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