Veolia a annoncé sa volonté de solariser une quarantaine de ses sites de stockage de déchets en post-exploitation en France.
Pour le moment, le déploiement vise exclusivement des installations de stockage de déchets non dangereux (ISDND) et a permis d’identifier un potentiel de 300 MW d’énergie solaire, soit près de 400 hectares de panneaux photovoltaïques à installer.
Le groupe a précisé dans un communiqué que les premières centrales solaires pourraient être opérationnelles à partir de 2027. Selon lui la production électrique des installations photovoltaïques devrait couvrir l’équivalent de la consommation de 130 000 citoyens.
Veolia a par ailleurs précisé avoir lancé des études de faisabilité pour développer des centrales solaires sur ses sites de stockage de déchets dangereux et sur les sites de clients industriels qu’il a sous gestion. Ce gisement foncier pourrait représenter quelque 400 MW d’énergie renouvelable répartis sur plusieurs sites dans toute la France.
Au côté des obligations réglementaires des sites industriels, le groupe a expliqué qu’il souhaitait rendre ses services autonomes en énergie en France. Il veut également valorisé une ressource foncière importante car Veolia exploite plus d’une cinquantaine de centres de stockage des déchets banals.
« Depuis plusieurs mois, nous avons passé en revue l’ensemble de nos sites afin d’utiliser chaque espace approprié pour maximiser la production énergétique. Désormais, nos ISDND, dont la plupart produisent déjà du biogaz ou du biométhane, pourront également générer de l’énergie photovoltaïque », a précisé Estelle Brachlianoff, directrice générale de Veolia.
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