Le fabricant américain affirme que ses nouveaux panneaux ont un coefficient de température de -0,30 % par °C. Ils sont assortis d’une garantie de puissance de 30 ans pour 87,4 % du rendement initial.
Si les projets d’usines de cellules et de modules se multiplient en Europe, tout le reste de la filière doit se structurer, notamment au niveau du polysilicium et des lingots. Toutefois, la valeur du solaire est loin de se limiter aux panneaux et se concentre aussi sur le recyclage ou encore le pilotage de l’énergie, via le stockage et les véhicules électriques.
En visite sur le salon Open Énergies, organisé fin janvier à Lyon, Philippe Adam, responsable du segment Utilités & Renouvelables du groupe ABB pour l’Europe du sud, en a profité pour présenter à pv magazine France le système de management énergétique Linky compatible, SCU 200, de la gamme InSite, développé par le géant mondial de l’électrification et de l’automatisation.
La société sud-coréenne a développé deux versions de son nouveau système de stockage enblock E, chacune ayant une capacité énergétique utilisable de 12,4 kWh et 15,5 kWh. Les deux modèles, de dimensions 451 mm x 330 mm, peuvent être facilement déployés dans de petits espaces.
Le centre d’entraînement Robert Louis-Dreyfus va être équipé de 500 panneaux solaires dans le cadre d’une installation en autoconsommation d’environ 250 kW.
Le gouvernement néerlandais a soumis une proposition publique visant à soutenir la production de modules hétérojonction et tandem pérovskite-silicium, ainsi que celle de panneaux photovoltaïques intégrés aux bâtiments et aux véhicules, avec une allocation qui pourra atteindre jusqu’à 70 millions d’euros par projet.
La Commission européenne s’est fixée comme objectif de relocaliser 40 % de la production photovoltaïque en 2030. Mais alors que les prix des produits chinois sont tirés vers le bas, les propositions de mesures pour protéger l’industrie européenne ne font pas l’unanimité et leur application risque de prendre du temps.
Développé en partenariat par Le Prieuré et IRFTS, la toiture hydroactive biosolaire « Oasis Biosolar » combine végétalisation, photovoltaïque et gestion des eaux pluviales. D’après les premières expérimentations, le procédé permet d’améliorer la production d’énergie de 10,44 %.
La formation est divisée en cinq modules (Performance Énergétique et Environnementale des Bâtiments, Outils de la Transition Énergétique et Environnementale, Solaire photovoltaïque, Solaire thermique, Management de projets en énergie solaire et efficacité énergétique : aspects juridiques et économiques) et sera diplômante via la Validation des acquis de l’expérience (VAE).
Le marché européen des contrat d’achat d’électricité de gré à gré (PPA) a bondi de 40 % en 2023 avec 10,4 GW de nouvelles capacités renouvelables visées, dont 6,1 GW pour le photovoltaïque. Selon les chiffres de l’alliance RE-Source, la France arrive deuxième dans le palmarès des PPA solaires en cumulé avec 1,8 GW, contre 5 GW en Espagne.
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