A terme, l’usine devrait produire 3 880 tonnes d’hydrogène vert par an. 90% de cette production sera utilisée par les principales industries régionales à forte consommation : le papier, le verre, l’acier, l’alimentation et l’automobile, ainsi que la manutention, l’énergie stationnaire et les applications de mobilité routière.
Leur technologie représenterait une avancée considérable vers une industrie de l’hydrogène vert économiquement viable.
Pendant longtemps, la pile à combustible à hydrogène a semblé la technologie toute désignée pour un transport routier sans carbone. Toutefois, les constructeurs de camions et les services d’expédition se sont récemment tournés vers les véhicules électriques à batterie. Cela nécessitera une technologie de charge spéciale, et en la matière, le PV aura selon toute vraisemblance un rôle de premier plan à jouer.
Une start-up installée à Victoria, en Australie, aurait mis au point un kit d’amélioration à l’hydrogène qui injecte de l’hydrogène dans des moteurs diesel classiques en vue de réduire l’utilisation de carburant. L’entreprise a lancé la fabrication de dix systèmes prêts à être commercialisés et va effectuer des tests sur le site de clients potentiels.
Dans le cadre de son plan pour atteindre zéro émission nette d’ici à 2035, la Turquie a publié une feuille de route en matière d’hydrogène qui s’appuie sur l’énergie solaire et l’importation à court terme de technologies d’électrolyse. D’après Gulmira Rzayeva, chercheuse associée à l’Institute for Energy Studies d’Oxford, il s’agit d’un objectif réaliste.
La jeune pousse française a signé un protocole d’accord avec la ville de Kinshasa pour mettre en place, dans la capitale, un projet pilote qui pourrait être reproduit dans d’autres provinces de la République démocratique du Congo (RDC).
Créée au début de l’année 2021, Verso Energy ambitionne de déployer des solutions de couplage entre production d’électricité renouvelable et moyens de batteries et de flexibilité. Eiffel Investment Group, AMS Capital et les deux co-fondateurs ont participé au tour de table qui a pour but d’accélérer le développement et la mise en service du portefeuille de projets.
Le projet H2Med reliant la péninsule ibérique au reste de l’Europe comportera deux parties distinctes : d’une part, un pipeline du Portugal vers l’Espagne, puis une deuxième partie entre Barcelone et Marseille, via la Méditerranée. L’infrastructure sera dédiée au transport de l’hydrogène vert, dans le cadre du plan RePowerEU.
Le producteur d’énergies renouvelables français a signé un protocole d’accord avec son partenaire égyptien TAQA Arabia. A terme, leur projet commun comprendra une installation de production d’hydrogène vert d’une capacité de 150 000 tonnes par an, avec une capacité d’électrolyseur de 1 GW, alimentée par 2,7 GW d’énergie solaire et éolienne.
Selon ce partenariat, les deux acteurs s’engagent à co-développer des éco-systèmes de production d’hydrogène alimentés en électricité via l’énergie solaire en Afrique, sur un certain nombre de marchés-cibles.
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