Grâce à l’expertise de l’association Noé sur la biodiversité, le développeur s’engage à créer des jachères fleuries et des pelouses calcicoles autour de ses parcs solaires et éoliens. A partir de cet été, un suivi scientifique sera également réalisé afin de déterminer l’impact de la restauration du milieu naturel sur les populations de pollinisateurs et accroître les connaissances sur les besoins de ces insectes.
Initialement, le plan prévoyait la construction d’une centrale solaire d’une capacité de 2000 MW, divisée en huit blocs de 250 MW, à laquelle a été ajoutée une dernière tranche de 50 MW. Au total, 10 développeurs ont contribué au projet.
La filière éolienne terrestre contribue majoritairement à cette recette, à hauteur de 7,6 Md€. La filière photovoltaïque continue quant à elle de peser marginalement sur les charges de service public à hauteur de 0,9 Md€ cumulé.
QOS Energy bénéficiera d’un soutien sur ses capacités de R&D et accélèrera son développement sur le secteur des actifs à grande échelle et sur les marchés asiatique et américain. De son côté, Envision digital s’ouvre au secteur des centrales de petite et moyenne tailles.
Des chercheurs allemands ont mené une étude sur la manière dont les systèmes photovoltaïques verticaux pourraient être en mesure de fournir davantage d’électricité au réseau en période de forte demande, avec l’avantage d’être mieux intégrés aux activités agricoles que les centrales au sol classiques.
Cette opération, qui consiste à stocker et à échanger des actifs numériques sur la Blockchain, permet de sécuriser et de faciliter le financement de plus petits projets d’énergie renouvelable en offrant aux investisseurs des opportunités de regroupement dynamiques.
Le financement de 44,5 millions d’euros a été réalisé auprès de trois banques, ING, Rabobank et UniCredit, et porte sur un parc de près de 50 MWc en Andalousie et de deux centrales de 15 MWc chacune, dans le centre et le nord du pays.
Partenaires depuis 2017, les deux sociétés ont co-développé un portefeuille de 232 MW de projets éoliens terrestres au travers d’une co-entreprise à parts égales. Cette transaction permet à Boralex d’accéder pleinement à un portefeuille de projets de 338 MW incluant éolien, solaire et stockage d’énergie.
Face à des temps d’instruction des dossiers qui frôlent les huit ans et à des recours quasi-systématiques, certains développeurs de parcs éoliens augmentent leurs capacités dans le solaire. Pas question pour autant d’abandonner totalement l’éolien, les deux sources d’énergie étant vues comme complémentaires. pv magazine France a mené l’enquête auprès de plusieurs d’entre eux.
L’installation a été développée selon les critères du label TED (pour Transition Energétique Durable) de Engie Green, qui comprend neuf engagements concrets sur trois thématiques-clés : territoires, nature, climat.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.