Les autorités croates prévoient de mettre aux enchères 300 MW d’énergie photovoltaïque, 300 MW d’énergie éolienne, 8 MW de biomasse et de biogaz, 4 MW de petite hydroélectricité et 10 MW d’énergie géothermique.
Le programme énergétique du candidat de la France Insoumise est clair : un mix électrique à 100% d’énergies renouvelables d’ici 2050 et une sortie du nucléaire et des énergies fossiles. La feuille de route du candidat est assez bien détaillée et reprend quasi intégralement les prérogatives de La Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) qui vise à atteindre la neutralité carbone en 2050. Le programme intègre une baisse de 65 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 en mettant à profit les scénarios NegaWatt et RTE pour combiner transition, sobriété et efficacité énergétique.
Yannick Jadot a accepté de répondre aux questions de pv magazine France sur sa politique énergétique. Le candidat d’Europe Écologie Les Verts (EELV) vise un minimum de 25 GW de puissance installée en plus de photovoltaïque à la fin de son mandat, ainsi qu’un plan d’investissement public de 25 milliards d’euros supplémentaires par an dans les infrastructures de la transition énergétique.
Entre atteinte des objectifs climatiques et nécessité de renforcer la souveraineté, le prochain mandat sera crucial pour la trajectoire énergétique de la France. Toute cette semaine, pv magazine France vous propose donc un décryptage des programmes des candidats à l’élection présidentielle en matière de développement des énergies renouvelables, et plus spécifiquement du solaire. Pour débuter cette série, nous faisons le point sur les propositions de Emmanuel Macron, de La République En Marche, qui pose des objectifs pour 2050 en termes de nucléaire et d’énergies renouvelables.
Développé en partenariat avec Boralex et l’Ademe, l’outil Photoscope permet aux associations, citoyens et collectivités d’analyser, à différentes étapes, les projets de parcs photovoltaïques au sol. L’objectif est de favoriser le dialogue entre les différents acteurs pour adapter le déploiement solaire aux délais courts imposés par l’urgence climatique et positionner durablement les nouvelles centrales dans les territoires.
Cette opération permet le financement d’un portefeuille d’une puissance de 135 MWc à construire d’ici à 2024. Ces centrales s’ajoutent aux 189 MWc du groupe déjà en exploitation et aux 89 MWc en construction pour un total dépassant les 400 MWc.
Enel prévoit d’investir environ 600 millions d’euros dans l’expansion de son usine de fabrication de modules dans le sud de l’Italie. La Commission européenne contribuera à hauteur d’environ 118 millions d’euros à la somme totale.
Plusieurs points clés ont été évoqués par les représentants des États membres de manière à coordonner les initiatives régionales et « permettre une adaptation renforcée et un financement ambitieux pour favoriser l’action climatique » qui sera déterminante pour l’avenir du monde en général et de l’Afrique subsaharienne en particulier dans les 10 à 30 prochaines années.
La levée de fonds de 2 M€ sera allouée au financement de BoucL Energie, société qui porte sur la revitalisation énergétique de la ZAE de Grenoble Métropole, et à l’accompagnement de la croissance d’ EverWatt, spécialisée dans la décarbonation des territoires.
La filiale Engie Deutschland Erneuerbare GmbH met l’accent sur le développement d’installations photovoltaïques et éoliennes ainsi que sur le repowering et la gestion d’exploitation. Le groupe a des projets de plusieurs gigawatts pour les prochaines années.
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