Nouveaux contrats de centrales solaires, levée de fonds, embauches de salariés, partenariat avec le CEA INES, label de « Jeune Entreprise Innovante » : Ener-Pacte monte en puissance et entend multiplier sa gestion de la production de parcs par dix à l’horizon 2023.
2020 a marqué un tournant dans la stratégie des grands énergéticiens, avec une accélération de leurs investissements dans les renouvelables, dont le solaire photovoltaïque. EDF a ainsi réhaussé son objectif 2030 à 60 GW de capacités EnR à 60 GW. De son côté, Total qui vise les 35 GW d’ici à 2025 accélère le pas en multipliant les partenariats et les acquisitions. Et Engie n’est pas en reste.
La société canadienne Boralex – présente en France, au Royaume-Uni et en Amérique du Nord – vient de dévoiler son bilan 2020, affichant un résultat net de 61 M$ et un ajout de 415 MW de puissance installée.
« Pour atteindre un coût de 1,5 €/kg d’hydrogène vert d’ici 2022, il n’y a rien de magique ! », a déclaré à pv magazine Thierry Lepercq, porte-parole du consortium Hydeal qui prévoit de déployer 95 GW d’énergie solaire et 67 GW de capacité hydrogène en Espagne d’ici 2030. Selon T. Lepercq, le photovoltaïque solaire a déjà atteint le niveau de coût nécessaire et les effets d’économie d’échelle dans les équipements et la fabrication des électrolyseurs contribueront à réduire les coûts de production.
Selon les statistiques publiées par l’Association belge pour la Promotion des Energies Renouvelables (APERe), la puissance installée cumulée s’élève désormais à 6 036 MWc. En 2020, le solaire a représenté 30 % de l’équivalent de la consommation des logements belges et un peu plus de 6 % de la consommation électrique totale de la Belgique (82 TWh).
Toutefois, le stockage ne doit pas nécessairement être lié aux batteries lithium-ion conventionnelles, comme le souligne un récent webinaire organisé par Solarpower Europe et l’organisme européen GET.invest.
Un nouveau rapport exclusif du cabinet d’études allemand Enervis montre que le marché des PPA en Europe a baissé de 50 % pour les projets photovoltaïques et de 30 % dans l’éolien. Cette chute étant principalement due aux conditions exceptionnelles sur le marché de l’électricité en raison de la crise du Coronavirus, les analystes prévoient toutefois un retour rapide à la normale en 2021.
Les énergies renouvelables ont participé à hauteur de 26,9 % à la couverture de la consommation d’électricité de France métropolitaine au cours de l’année 2020. Une progression de près de quatre points par rapport à l’année précédente (23,1 %). Une année spéciale cependant, avec une baisse de la consommation pour cause de crise sanitaire et en parallèle une production renouvelable historique de 120,7 TWh, en progression de 10,4% par rapport à 2019.
Alors que la loi « portant sur la lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience face à ses effets » (dite loi climat et résilience) devrait être examinée au Parlement en mars, le Haut conseil pour le climat (HCC) s’est autosaisi pour passer au crible le texte présenté par le gouvernement. Résultat : un texte qui a le mérite d’exister mais qu’il faut sérieusement doper pour parvenir aux objectifs fixés par la Stratégie nationale bas carbone (SNBC).
Crédit Agricole Assurances prend une participation de 50 % dans 9 parcs éoliens (103 MW) et 44 centrales solaires (182 MW). De son côté, la Banque des Territoires entre au capital de huit parcs solaires situés en Nouvelle-Calédonie pour une capacité totale de 53 MWc.
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