Le développeur allemand a annoncé avoir obtenu un financement auprès de la société d’investissement française Eiffel Investment Group pour mettre en service 15 projets photovoltaïques en Allemagne, dont plusieurs avec stockage, pour une capacité cumulée de 325 MW.
Si les projets d’usines de cellules et de modules se multiplient en Europe, tout le reste de la filière doit se structurer, notamment au niveau du polysilicium et des lingots. Toutefois, la valeur du solaire est loin de se limiter aux panneaux et se concentre aussi sur le recyclage ou encore le pilotage de l’énergie, via le stockage et les véhicules électriques.
En visite sur le salon Open Énergies, organisé fin janvier à Lyon, Philippe Adam, responsable du segment Utilités & Renouvelables du groupe ABB pour l’Europe du sud, en a profité pour présenter à pv magazine France le système de management énergétique Linky compatible, SCU 200, de la gamme InSite, développé par le géant mondial de l’électrification et de l’automatisation.
Le gouvernement néerlandais a soumis une proposition publique visant à soutenir la production de modules hétérojonction et tandem pérovskite-silicium, ainsi que celle de panneaux photovoltaïques intégrés aux bâtiments et aux véhicules, avec une allocation qui pourra atteindre jusqu’à 70 millions d’euros par projet.
La Commission européenne s’est fixée comme objectif de relocaliser 40 % de la production photovoltaïque en 2030. Mais alors que les prix des produits chinois sont tirés vers le bas, les propositions de mesures pour protéger l’industrie européenne ne font pas l’unanimité et leur application risque de prendre du temps.
La formation est divisée en cinq modules (Performance Énergétique et Environnementale des Bâtiments, Outils de la Transition Énergétique et Environnementale, Solaire photovoltaïque, Solaire thermique, Management de projets en énergie solaire et efficacité énergétique : aspects juridiques et économiques) et sera diplômante via la Validation des acquis de l’expérience (VAE).
Le marché européen des contrat d’achat d’électricité de gré à gré (PPA) a bondi de 40 % en 2023 avec 10,4 GW de nouvelles capacités renouvelables visées, dont 6,1 GW pour le photovoltaïque. Selon les chiffres de l’alliance RE-Source, la France arrive deuxième dans le palmarès des PPA solaires en cumulé avec 1,8 GW, contre 5 GW en Espagne.
Si la Chine reste en première ligne des progrès technologiques, la R&D française est capable de fournir des innovations sur les processus de fabrication et sur les technologies photovoltaïques couches minces. Pour le tandem-pérovskite, au coeur des projets de gigafactories, on mise sur des technologies (quasi)-matures. Pour le CIGS et le PV organique qui sont développés dans les plus petites lignes, il faut structurer des filières spécifiques.
Retrouvez chaque semaine dans pv magazine les appels d’offres publiés relatifs aux projets photovoltaïques en France.
L’électricité sera produite par trois centrales solaires en France, en Italie et en Pologne qui totalisent une capacité installée de 89,5 MW, pour un volume de 116,7 GWh par an. Le groupe de téléphonie a pour ambition de couvrir 13 % de ses consommations électriques via des PPA renouvelables en 2025.
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