Des chercheurs sud-coréens ont mis au point un procédé à basse température pour la fabrication de cellules solaires bifaciales en cuivre, indium et sélénium (CuInSe₂) présentant un rendement de 8,44 % à l’arrière et de 15,30 % à l’avant. Ce dispositif a été développé pour être utilisé dans des cellules solaires tandem.
Des scientifiques en Corée ont mis au point une nouvelle méthodologie pour intégrer des modèles d’apprentissage automatique dans la fabrication « intelligente » de cellules solaires. Ils ont utilisé des données collectées à partir d’équipements très proches des outils industriels réels utilisés en production.
SolarEdge va fermer son unité de fabrication de dispositifs de stockage d’énergie, entraînant la suppression de 500 emplois.
L’Institut de recherche coréen en technologie chimique (KRICT) a établi un record mondial de rendement de conversion énergétique à 20,6 % pour des cellules solaires à base de pérovskite de grande surface dépassant les 200 cm². Ce résultat, confirmé par l’Institut Fraunhofer pour les systèmes d’énergie solaire (Fraunhofer ISE) en Allemagne, marque une étape importante dans la technologie des cellules solaires.
Des scientifiques ont proposé un nouveau système qui utilise l’énergie photovoltaïque excédentaire au printemps et à l’automne pour charger le stockage souterrain de l’énergie thermique en vue d’une utilisation ultérieure en été et en hiver. Ils ont simulé ce système dans une école de Séoul, avec quelques configurations optionnelles pour le stockage thermique. Les économies d’énergie ont atteint 39 %.
Ces nouveaux produits emploient un réfrigérant au propane et présentent un coefficient de performance saisonnier de plus de 5. D’après le fabricant, la température de flux peut aller jusqu’à 75 °C, même par -15 °C à l’extérieur.
Ces modules sont équipés de cellules solaires Maxeon et d’un film à microprisme qui conserverait un facteur de transmission supérieur à 99 %. Le dispositif de microprisme est imprimé sur un film en PET à l’aide de la technique de gaufrage rouleau à rouleau.
L’Institut coréen de recherche sur l’énergie a mis au point une pile de cellules d’électrolyse à oxyde solide qui utilise un type spécial de plaque séparatrice pour assurer un flux correct d’hydrogène et d’oxygène après la division de l’eau. Samsung Electro-Mechanics et Bumhan Industries coopèrent actuellement avec le centre de recherche pour améliorer le processus de fabrication correspondant.
Le système utilise le difluorométhane (R32) comme réfrigérant et aurait un coefficient de performance saisonnier allant jusqu’à 4,69.
Développée par des chercheurs de l’Institut coréen de recherche sur l’énergie (KIER), cette nouvelle cellule a été conçue pour des applications dans des dispositifs photovoltaïques tandem pérovskite-silicium bifacial. Les universitaires affirment qu’ils ont réussi à surmonter un mécanisme de dégradation interne intrinsèque induit par le dopant, qui entraîne une diffusion indésirable de l’ion lithium préjudiciable à l’efficacité de la cellule.
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