A l’issue de ce vote, le SER et Enerplan, dans une démarche commune avec l’ensemble des acteurs de la filière, en appellent désormais au Premier Ministre Jean Castex. Une demande officielle de rendez-vous est lancée, et les deux présidents des organisations professionnelles souhaitent une rencontre dans les plus brefs délais.
Une dizaine de techniciens se consacrera à l’entretien et la supervision 7j/7, 24h/24 de la centrale flottante du lac de la Madone, opérationnelle depuis décembre 2019. Elle comprend 630 panneaux photovoltaïques flottants, 7 ancres et des câbles sous l’eau, trois onduleurs photovoltaïques et 1 cellule HTA.
Après avoir atteint la 3ème place en mai 2019 et en mai 2020, la France réalise son plus mauvais classement depuis 2017. Le pays est pénalisé par des appels d’offres décalés en raison du Covid-19 et du projet d’amendement visant à revoir les tarifs d’achat d’installations solaires.
L’opération soutenue par plusieurs banques permettra de donner de la liquidité dans la construction de centrales lauréates aux derniers appels d’offres sur bâtiments, serres, hangars agricoles et ombrières de parking, pour une puissance globale de 40 MWc.
Si le Syndicat des énergies renouvelables (SER) salue une ambition incontestable pour les renouvelables dans la réglementation environnementale RE2020, il regrette « la prise en compte limitée de l’électricité solaire produite sur les bâtiments neufs ». De son côté, Enerplan demande d’intégrer la solarisation dès la phase de construction.
Driveco vient de lever un montant de plusieurs millions d’euros auprès de Mirova, l’affilié de Natixis Investment Managers dédié à l’investissement durable.
La 5ème édition de « Piles solidaires »* a eu lieu tout au long de l’année scolaire 2019-2020 et a réuni 1 600 écoles et collèges français. Grâce à cette collecte de piles et batteries usagées, et à l’association entre Screlec, qui organise la collecte via Batribox, PV Cycle France, expert en recyclage de panneaux photovoltaïques, la collectivité territoriale de Guyane a bénéficié de l’électrification d’un site isolé sur son territoire.
Selon la coopérative CéléWatt à l’origine de la démarche, la puissance moyenne des panneaux est passée de 250 Wc à 335 Wc et bientôt 350 Wc. Cette disposition serait donc un moyen simple de soutenir le développement des installations de petite taille, sans impact sur la biodiversité et l’emprise au sol.
Selon le syndicat, le coût additionnel des bâtiments neufs « prêts à solariser » est dérisoire : 0,4 % pour une maison individuelle et 0,3 % pour un petit immeuble collectif. Il appelle donc le gouvernement à inscrire cette disposition dans la future réglementation environnementale RE2020.
Afin de participer à la réflexion de politique publique sur le choix du mix électrique en 2050, trois chercheurs du CIRED ont mis en ligne un outil interactif qui étudie 315 scénarios de parts des énergies renouvelables et leurs coûts moyens de production.
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