L’Union européenne annonce des investissements colossaux et des objectifs ambitieux en matière d’énergies renouvelables pour la prochaine décennie, mais l’Agence internationale de l’Energie (AIE) se demande si ces engagements seront suffisants sachant que la transformation des infrastructures se heurte à la problématique du financement privé et au manque de coordination des Etats interconnectés.
Le déploiement photovoltaïque, le développement éolien et nucléaire, les additions de capacité d’électrolyseurs, la croissance des ventes de voitures électriques et les équipement en pompes à chaleur sont étudiés à l’échelle mondiale, avec une estimation des émissions évitées.
L’agence internationale de l’énergie (AIE) estime que l’investissement mondial dans les énergies propres devrait atteindre 1 700 milliards de dollars en 2023. En première ligne : le solaire qui est en passe de dépasser les investissements dans la production de pétrole bien que ces derniers ont enregistré une hausse de 7 %, dans un bilan peu réjouissant au global puisque la hausse se confirme également sur le charbon et le gaz d’ici 2030.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit que la capacité mondiale de production d’énergie renouvelable déployée au cours des cinq prochaines années sera aussi importante que celle déployée au cours des deux dernières décennies.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui a publié son rapport World Energy Outlook 2022 (Perspectives énergétiques mondiales 2022), prévoit que la crise énergétique déclenchée par l’invasion russe en Ukraine va accélérer la transition énergétique mondiale.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) indique que le déploiement de 600 millions de pompes à chaleur d’ici 2030 pourrait couvrir 20 % des besoins annuels en chauffage des bâtiments dans le monde entier.
Le nouveau rapport de l’AIE montre qu’en orientant les investissements liés à la construction de nouveaux terminaux GNL (25 milliards de dollars par an) vers les EnR une énergie moderne et abordable pourrait être disponible pour tous les habitants d’Afrique d’ici la fin de cette décennie. L’AIE fait aussi le point sur le potentiel de l’hydrogène vert, de l’exploitation des matériaux critiques et sur le déploiement du photovoltaïque (sur le réseau et off-grid) sur le continent.
A l’occasion de l’Assemblée générale du 28 mai, les actionnaires ont approuvé le changement de nom et de logo du groupe, qui veut s’engager massivement dans les énergies renouvelables et l’hydrogène.
Selon la feuille de route de l’Agence internationale de l’énergie publiée le 18 mai, qui fixe 400 étapes à réaliser pour parvenir à la neutralité carbone d’ici à 2050, les énergies solaire photovoltaïque et éolienne devront représenter 70 % du mix électrique à cette date.
Deux études récentes montrent que de nombreuses institutions mondiales évaluant les voies de décarbonation dans le monde ne prennent pas suffisamment en compte la baisse des coûts et utilisent des LCOE trop élevés pour la technologie solaire d’ici à 2050. Résultat, le potentiel de l’énergie photovoltaïque dans le futur mix énergétique est systématiquement sous-estimé.
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