L’entreprise occitane, soutenue par les fonds d’investissement RGreen Invest et DIF Capital Partners, obtient un nouveau crédit de 6 millions d’euros pour concrétiser le projet photovoltaïque de Dédougou au Burkina Faso. L’enveloppe est accordée par la Banque Africaine de développement (BAD) sous la forme d’un prêt concessionnel de 2,5 millions d’euros et d’un don remboursable de 3,5 millions d’euros.
Le groupe dubaïote a obtenu une enveloppe de prêts de 35,3 millions d’euros pour co-financer la construction d’une centrale solaire de 100 MW dans la région de Kairouan, au nord du pays. Le début des travaux est prévu pour mi-2023
Le financement est destiné à la phase préparatoire du Projet d’électrification rurale de 317 localités. Celle-ci prévoit la création des sociétés projets pour le déploiement des mini-réseaux solaires.
Deux centrales solaires, l’une de 20 MW, l’autre de 10 MW seront construites d’ici 2027 dans le sud du pays, en plus de projets d’électrification par mini-réseaux photovoltaïques. Le financement s’étale sur cinq ans et prévoit, en parallèle, de raccorder 186 localités supplémentaires.
Les soumissionnaires ont jusqu’au 6 juin pour déposer leur dossier. Le projet est financé par la Banque africaine de développement (BAD) et sera implanté à proximité de la centrale thermoélectrique de Santo Amaro, située au nord-est de l’île.
Le but de la subvention est de faciliter les investissements dans de nouvelles capacités de production d’énergie solaire, photovoltaïque et éolienne, pour atteindre au moins 100 MW et 50 MW respectivement d’ici à 2030.
Selon la Banque africaine de développement, le taux d’accès à l’électricité en Afrique est passé de 42 % en 2015 à 54 % en 2019 et vingt millions d’Africains ont pu être raccordés entre 2014 et 2018. Grâce au complexe solaire Noor Ouarzazate (580 MW sur quatre centrales) ou l’initiative Desert to Power, la solarisation sur le continent progresse également.
Selon la Banque africaine de développement qui a financé le projet à hauteur de 1,3 million de dollars, des lampes, lampadaires et pompes à eau solaires ont été distribués et la fourniture d’électricité de plusieurs bâtiments des camps est assurée par des panneaux solaires.
La centrale électrique prévue marque la première phase d’un projet de 60 MWc à 30 km au nord de la capitale, N’Djamena. L’ensemble du projet est développé par la la société Infraco Africa du Private Infrastructure Development Group, basé au Royaume-Uni, et la société française Smart Energies International.
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