La part de la consommation finale brute d’énergie provenant de sources renouvelables a atteint 22 % en 2020 dans l’UE, soit 2 % de plus que l’objectif fixé. La France manque son objectif de 4 points.
Grâce au dynamisme dans le secteur du photovoltaïque, la puissance cumulée de l’ensemble des sites d’énergies renouvelables en France a pu progresser de 7,4 % sur un an. Mais il reste encore de nombreux freins à lever pour pérenniser le rythme et se rapprocher des objectifs de la PPE.
Selon un rapport publié le 30 novembre par l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la France est « en retard » sur ses objectifs climatiques. L’organisation demande donc une « accélération » des investissements dans les énergies renouvelables et une décision rapide sur le nucléaire. Extraits choisis.
Le gestionnaire de réseaux de transport français, RTE, a présenté ce matin ses scénarios « Futurs énergétiques 2050 » avec un message très clair : pour décarboner notre système énergétique tout en garantissant la sécurité d’approvisionnement, les énergies renouvelables devront couvrir au minimum 50 % de notre consommation d’électricité en 2050.
Le champ de la coopération entre la Banque Européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et l’Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles (IRESEN) couvrira notamment l’hydrogène vert, les énergies renouvelables, les réseaux électriques intelligents, le stockage d’énergie et la mobilité durable.
Le soutien aux énergies renouvelables bénéficie d’un budget de 8,1 Md€ en 2022 pour le service public de l’énergie, dont 4 738,4 M€ en faveur des énergies renouvelables électriques en métropole continentale, de 712,9 M€ pour le développement du biométhane (en hausse de 169 M€ par rapport à 2021), 646,1 M€ pour le soutien à la cogénération et 2 163,6 M€ pour le soutien dans les zones non interconnectées.
Les porteurs de projets souhaitant déployer des technologies ou des services innovants en faveur de la transition énergétique, des réseaux et infrastructures et qui se heurtent à des contraintes réglementaires peuvent envoyer leurs dossiers de candidature jusqu’au 31 décembre 2021.
Le producteur d’énergie renouvelable français s’associe au gestionnaire de fonds Copenhagen Infrastructure New Markets Fund I et ils développeront conjointement un portefeuille initial de plus de 400 MW de projets éoliens terrestres, solaires et hydroélectriques.
Mise au point par des chercheurs chinois, cette nouvelle méthode de conception consiste à utiliser des supports métalliques comme structures de montage, des panneaux solaires classiques et une plaque de verre rainurée placée entre les panneaux solaires. Selon ses créateurs, elle permet de multiplier par 5,14 le revenu moyen d’un agriculteur, y compris l’activité de production d’énergie solaire. Un système construit selon cette approche devrait coûter environ 715 € par kW installé.
Les onduleurs de la série blueplanet NX1 M2 ont une puissance comprise entre 3 et 5 kVa et un rendement de 97,5 %, et ils sont conçus pour les systèmes photovoltaïques résidentiels en toiture.
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