Pour l’heure, 140 aires de repos et une centaine d’échangeurs routiers ont été identifiés par les directions interdépartementales des Routes (DIR), représentant un potentiel solarisable de 240 MWc. Les premiers appels à manifestation d’intérêt (AMI) seront lancés à partir d’avril-mai et relayés dans nos colonnes.
Le dispositif, qui raccorde plus de 1 500 habitants à l’électricité, s’inscrit l’objectif de l’énergéticien d’installer 20 mini-réseaux supplémentaires au Bénin. Ils desserviront plus de 30 000 personnes dans 20 localités rurales, grâce à une capacité totale de 1,2 MW.
La feuille de route qui définit les grandes orientations énergétiques de la France pour 2035 sera adoptée par décret par « souci d’efficacité » et non pas par la loi pour éviter une « guerre de religion » entre pro-nucléaire et pro-renouvelables. Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et les associations environnementales regrettent ce passage en force et l’absence de débat parlementaire.
Pour l’organisation syndicale, l’agrivoltaïsme entraîne une perte d’autonomie dans la pratique agricole et a un impact sur les prix et la disponibilité du foncier. Elle estime que le décret, en l’état, ne protège pas suffisamment les agriculteurs, notamment sur les rendements.
D’ici à 2026, les deux acteurs s’engagent à mettre en service 14 centrales solaires photovoltaïques, venant s’ajouter à quatre déjà en production. Situées sur des parcelles ou des installations de stockage de déchets qui ne sont plus exploitées, elles représenteront une puissance cumulée de près de 180 MWc.
A l’occasion de la sortie du décret sur l’agrivoltaïsme, pv magazine France est revenu avec Nicolas Ferras, directeur Agri-énergies de TotalEnergies, sur le développement de l’énergéticien dans ce secteur et sur l’intégration d’Ombrea qui lui a permis de constituer un pôle de compétences, en particulier dans la gestion des données et des algorithmes.
Le premier est prévu au nord-est de Madrid, pour une capacité de 6 MWc. L’autre projet baptisé “Sant Fruitós” d’une puissance de 3 MWc se trouve dans la province de Barcelone. L’entreprise, active dans l’éolien et la biomasse, attend les permis de construire pour démarrer les travaux.
D’un coût total de 7,2 millions d’euros, le “projet B” comprend, outre le parc solaire, la construction d’une route d’accès et d’une ligne de transmission électrique basse tension. Il vise à augmenter la part du photovoltaïque dans le mix de production de la Tunisie, tout en créant des emplois locaux.
La plupart des acteurs de la filière se disent satisfaits de ce premier cadre réglementaire qui va permettre de constituer un référentiel commun entre agriculteurs, développeurs et services de l’Etat. Ils rappellent toutefois que de nombreux points restent à préciser, notamment en matière de contrôles et d’élevage.
Après de longs mois d’attente, le décret sur l’agrivoltaïsme a été publié ce 9 avril au Journal officiel. Comme attendu, il précise notamment les conditions d’implantation de panneaux photovoltaïques sur les surfaces agricoles en tenant compte du taux de couverture et de la perte de rendement agricole acceptable. Toutefois, de nombreuses dispositions réglementaires sont encore attendues, notamment la liste des technologies dites éprouvées qui doit encore être finalisée.
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