Un incendie s’est déclaré cette semaine dans un élevage de volailles pondeuses à Volpago del Montello, en Italie. L’incendie, qui a tué plus de 20 000 volailles, pourrait provenir d’un système photovoltaïque installé sur les lieux.

L’entreprise italienne Barrel affirme que ses kits solaires conditionnés en barils sont idéaux pour les emplacements isolés et les zones de conflit. Ses packs standard sont constitués de 6 kW de modules solaires, de 5,6 kW d’onduleurs hybrides monophasés et de 3,55 kWh de batteries au lithium.

Le groupe Clementy, une société d’investissement installée au Royaume-Uni, s’apprête à acquérir le fabricant d’onduleurs italien Fimer. En septembre, Fimer a annoncé sa relance industrielle après avoir entamé une procédure de concordat auprès d’un tribunal italien.

Au total, les autorités italiennes ont attribué 368,2 MW de capacité d’énergie renouvelable dans le cadre du dernier exercice d’achat d’énergie propre du pays. Les développeurs ont consenti à des rabais allant de 2 % à 2,8 % par rapport au prix plafond de 0,065 € (0,070 $)/kWh fixé pour la vente aux enchères.

Le gouvernement australien a présenté son budget 2023-2024, avec 2 milliards de dollars australiens (1,23 milliard d’euros) à investir dans l’hydrogène, tandis que l’Autriche, l’Allemagne et l’Italie ont avancé sur le projet de corridor d’hydrogène allant de l’Afrique du Nord à l’Europe du Nord.

Des chercheurs de l’École polytechnique fédérale de Lausanne ont dévoilé un nouveau concept de centrale solaire, tandis que Plug Power a livré son premier système d’électrolyse en Europe.

Dans le cadre de son plan pour atteindre zéro émission nette d’ici à 2035, la Turquie a publié une feuille de route en matière d’hydrogène qui s’appuie sur l’énergie solaire et l’importation à court terme de technologies d’électrolyse. D’après Gulmira Rzayeva, chercheuse associée à l’Institute for Energy Studies d’Oxford, il s’agit d’un objectif réaliste.

Selon Masdar, les exportations annuelles d’hydrogène africain pourraient s’élever à 40 millions de tonnes d’ici à 2050, tandis que des chercheurs israéliens ont publié une nouvelle étude sur les caractéristiques de décharge de produits intermédiaires oxydés formés dans des conditions de photo-oxydation de l’eau.

L’entreprise californienne Verdagy a obtenu ce résultat sur un démonstrateur grâce à sa membrane à échange d’anions (AEM). Elle estime qu’elle peut désormais lancer l’exploitation commerciale.

Les précédents historiques tendent à indiquer que les mesures politiques d’urgence pourraient promouvoir des taux de croissance élevés, et ainsi accélérer une percée décisive et augmenter la probabilité de la disponibilité future de l’hydrogène. Cependant, d’après un groupe de chercheurs allemands et américains, les objectifs de l’UE nécessitent des rythmes de croissance encore jamais vus.