Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée en charge de l’Industrie, ont annoncé ce lundi l’installation du Conseil national de l’hydrogène.
Presque un an jour pour jour après la promulgation de la loi d’orientation des mobilités (LOM), l’Avere-France, le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), France Hydrogène (ex-Afhypac), la Plateforme automobile (PFA) ainsi que l’Union française de l’électricité (UFE) ont publié hier mardi, un rapport commun autour de l’objectif 2040 inscrit dans cette loi et du rôle que l’électromobilité joue et jouera dans l’accélération des ventes de véhicules à faibles émissions.
Lhyfe, le producteur nantais d’hydrogène vert et renouvelable, célèbre l’acquisition de son premier véhicule hydrogène – le Nexo de Hyundai – avec son revendeur régional DMD. Un signal positif pour le développement du marché de l’hydrogène dans le Grand Ouest.
A l’occasion de son assemblée nationale, l’association France Hydrogène, qui regroupe près de 250 acteurs de la filière, a présenté son nouveau logo, voulant « refléter son dynamisme et son engagement pour la transition écologique », ainsi que son nouveau bureau.
Le spécialiste français de l’énergie et le chimiste norvégien, producteur d’engrais, viennent de publier la première étude de faisabilité qui prévoit la conversion du site Pilbara (Australie) pour fabriquer l’ammoniac à partir d’hydrogène vert. Dans une première phase, une centrale solaire de 10 MW couplée à un électrolyseur sera installée d’ici à 2023.
Le gouvernement italien a dévoilé une nouvelle stratégie visant à hisser, d’ici à 2050, l’hydrogène à 20% dans sa demande énergétique finale.
Le livre blanc du cabinet suédois Material Economics suggère que la demande européenne d’hydrogène pourrait atteindre 1,2-1,4 PWh (pétawatt) en 2030, ce qui nécessiterait 280 GW de capacité d’énergies renouvelables supplémentaires. Il faudrait pour cela que les conditions soient réunies, à savoir avec un coût de l’hydrogène vert passant de 4-5 €/kg à 1,70-2 €/kg et un prix du carbone à 50 à 60 €/tonne.
Avec cette nouvelle étape, le groupe ambitionne de se positionner dans les technologies de l’hydrogène vert en Allemagne et en Europe.
La Région Nouvelle-Aquitaine lance officiellement deux nouveaux appels à projets régionaux. Le premier est dédié à l’« agri-solaire », selon l’appellation régionale, et le second à un « hub de mobilité hydrogène routier et maritime ».
Une étude canadienne a évalué la faisabilité géologique du stockage souterrain saisonnier d’hydrogène à grande échelle et a révèle que le bassin sédimentaire de l’Ouest canadien et le sud de l’Ontario sont les zones les plus appropriées pour cette technologie.
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