Alors qu’en France, plusieurs projets de production de cellules et de modules solaires ont été annoncés pour 2025 à 2027, l’innovation technologique continue d’être dominée par les fabricants Tier 1 chinois. De fait, les futures usines françaises sont-elles condamnées à courir sans cesse derrière leurs concurrents ou peuvent-elles trouver des éléments de différenciation ?
Actionnaire principal du groupe belge Ecostal, créé en 2008 et basé à Soumagne, en Wallonie, Stéphane Dauvister aurait pu choisir de revendre sa société l’an dernier. Après mûre réflexion, il a préféré, au contraire, continuer à la voir grandir, avec l’ambition d’en faire un leader européen de la distribution photovoltaïque à cinq ans.
Un groupe de chercheurs de l’université de Lisbonne et de l’académie militaire a publié un rapport sur la viabilité de l’agrivoltaïque au Portugal. Il en ressort que la combinaison de modules photovoltaïques en rangées espacées et de cultures adaptées à un environnement ombragé présente le rendement le plus prometteur et une période d’amortissement de moins de cinq ans.
L’IPP français a vendu ses activités au groupe Axian avec lequel il exploitait, en co-entreprise, un portefeuille photovoltaïque de 46 MW à Madagascar. Au Burkina Faso il lui cède ses parts majoritaires dans la centrale de Nagréongo (30MW).
Plus le nombre d’opérations d’autoconsommation collective augmente, plus leur gestion se complexifie, prédit Animergy, toute nouvelle société créée pour proposer une offre clé-en-main de délégation de services aux développeurs et aux propriétaires de centrales solaires qui se détournent de la revente totale d’électricité.
Le syndicat assurera le lien avec les acteurs du territoire, tandis que le producteur d’énergie renouvelable aura un rôle plus opérationnel dans la phase de développement, de construction et de maintenance des projets.
Le CPPA greenfield permettra la construction de deux centrales photovoltaïques, l’une en Indre et Loire (37) et l’autre dans la Nièvre (58), qui produiront 18,3 GWh d’électricité par an, ce qui couvrira environ 3,5 % de la consommation du groupe Crédit Agricole.
Renouvelable deux fois, le dispositif prévoit une phase initiale de trois ans, d’un montant de près de 100 millions d’euros. Grâce à cet emprunt sur le long terme, le développeur gagnera du temps sur la phase de recherche d’organismes prêteurs et bénéficiera d’un processus d’audits bancaires adapté.
Alerté par les syndicats solaires, le gouvernement prévoit un arrêté modificatif afin d’éviter la baisse brutale des tarifs et primes résultant de l’application de la formule de base à laquelle s’appliquait un coefficient dégressif d’urgence de 10,2 % reconduit depuis deux trimestre. L’arrêté tarifaire modificatif devrait sécuriser la rentabilité des petites centrales solaires en toiture.
Les actionnaires historiques Bpifrance et RGreen Invest participent à la levée de fonds au côté d’un nouvel entrant, Swen Capital Partners, qui entend notamment diversifié son investissement dans les énergies renouvelables. L’IPP revendique un portefeuille solaire en exploitation de 40 MW sur différents marchés et un large éventail de projets en développement ou prêts à construire pour lesquels il utilisera sa nouvelle enveloppe.
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