Un référendum est organisé le 10 septembre prochain dans le canton de Valais pour évaluer le décret local fixant la procédure d’autorisation pour les grandes installations photovoltaïques. Ce dernier est critiqué pour ne pas privilégier le développement solaire sur espaces ou structures bâtis ou artificialisés.
Un rapport de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) souligne la vulnérabilité des chaînes d’approvisionnement en matières premières critiques, nécessaires à la transition énergétique. Les réserves étant majoritairement situées dans les pays en développement, l’institution appelle à mettre en oeuvre des stratégies de collaboration qui puissent profiter à toutes les parties concernées
Permettre aux personnes vivant en appartement, en particulier aux locataires, de réaliser des économies grâce au solaire n’est pas chose aisée, comme en témoigne le faible recours à cette solution en Allemagne. Mel Bergsneider, qui travaille pour la start-up australienne Allume Energy, expose une offre de son entreprise qui pourrait changer la donne.
L’agrivoltaïsme est une figure de proue des stratégies de développement solaire européennes et la France se démarque par l’appétence de ses investisseurs industriels et institutionnels sur ce segment. Pour pv magazine, le cabinet d’analyse des énergies renouvelables Enerdatics a analysé le paysage et les dynamiques de l’agrivoltaïsme en France ainsi que son potentiel de développement et d’investissements, avec des réserves liées à la réglementation et à la durabilité de l’agriculture.
Le projet industriel du fabricant taïwanais ProLogium recevra une subvention de 1,5 milliard d’euros de l’Etat français pour un investissement total prévu de 5,2 milliards d’euros. 48 GWh de capacité de production devrait être mise en place à partir de fin 2026, avec le début des travaux prévu pour 2024 si la concertation de cet automne aboutit.
En moyenne pondérée, les nouveaux objectifs ont augmenté de 63 % grâce à la mise à jour des plans nationaux en matière d’énergie et de climat (PNEC) de 12 Etats, sachant que 15 plans sont toujours en attente, dont celui de la France. Ce faisant l’ambition européenne est portée à 425 GW de PV d’ici 2030 (une hausse 90 MW), un chiffre toujours inférieur à l’objectif de 750 GW fixé par la Commission européenne.
L’énergie propre produite en excédent et gaspillée quotidiennement sur l’île a considérablement augmenté depuis l’an dernier. Le ministère de l’Énergie étant sous la houlette d’un vétéran des carburants fossiles depuis l’élection présidentielle de février dernier, quelles sont les perspectives en matière de transition verte ?
Dans son document de travail, le Secrétariat général à la planification écologique cible 140 GW de projets PV d’ici 2050 avec 45 GW de centrales solaires sur friches, 45 GW sur des espaces naturels, agricoles ou forestiers, 35 GW en grandes toitures et ombrières et 12 GW en autoconsommation résidentielle.
Le soutien aux zones non interconnectées s’élève de son côté à 2,9 Md€, tandis que les boucliers tarifaires et amortisseurs se montent à 28,5 Md€ pour 2023. Selon la Commission de régulation de l’énergie, la filière photovoltaïque représente une charge pour le budget de l’Etat, à hauteur de 1 Md€, “du fait du poids des contrats historiques à des prix qui restent élevés”.
Le Français a signé un contrat portant sur la construction d’une ligne de transmission sous-marine, première phase de l’EuroAsia Interconnector, qui reliera la Grèce, Israël et Chypre.
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