L’an dernier, le bon rapport “coût-efficacité” des cellule TOPCon a entraîné un « bond » de la demande en production pour la technologie de type n, à tel point que le cabinet d’analyse TrendForce prédit que les capacités de cellules PERC « pourraient » être progressivement remplacées d’ici deux à trois ans. Toutefois, les experts préviennent qu’un excédent de cellules et modules de type p est susceptible accroître l’écart de prix entre les produits de type n et de type p dans les mois à venir.
Les contacts arrière en électrodes de carbone des cellules solaires à pérovskite promettent une fabrication plus simple et moins gourmande en énergie, mais le faible rendement de conversion de l’énergie a jusqu’ici freiné leur adoption. Toutefois, cette situation pourrait changer car les chercheurs travaillent à surmonter les obstacles à leur commercialisation.
Sur plusieurs marchés européens, comme la Pologne ou l’Espagne, la hausse rapide du nombre d’emplois dans le secteur du PV en toiture traduit l’engouement croissant pour le solaire résidentiel et commercial et industriel (C&I).
Le contrat d’achat d’électricité, signé avec le fournisseur d’énergie américain El Paso Electric, comprend la construction d’une centrale solaire de 150 MWac, assortie de batteries de stockage de 75 MW/300 MWh. Selon EDF Renewables North America, il s’agit du premier projet solaire+stockage au Nouveau-Mexique.
Le coefficient de température du nouveau module sans plomb est de -0,24 % par degré Celsius. La production devrait démarrer en janvier 2024 dans l’usine de REC à Singapour.
D’après l’équipe de chercheurs, cette cellule a dépassé le record de rendement des cellules tandem à double jonction. En laboratoire, elle a en effet affiché un rendement de 20,1 % ainsi qu’une tension en circuit ouvert remarquable supérieure à 2,8 V.
Les parcs photovoltaïques de Maroua et Guider sont équipés de plus de 44 800 panneaux solaires bifaciaux montés sur trackers et sont associés à 20MW/19MWh de stockage par batterie afin de réduire les coupures d’électricité dans la région.
Leur but des partenaires Al Mada et CNGR est de valoriser localement les ressources extraites dans le pays (notamment cobalt, phosphate et manganèse) pour les transformer en composants pour les batteries NMC (Nickel Manganèse Cobalt) et LFP (Lithium Fer Phosphate), afin de positionner le Maroc sur le marché mondial du véhicule électrique.
Leur collaboration vise à « dérisquer » la nouvelle technologie silicium-pérovskite à deux terminaux (dite 2T), en améliorant la stabilité et la tenue de la pérovskite dans l’empilement de couches minces, afin de passer dans un futur proche à une production à grande échelle.
Les batteries lithium-ion sont généralement sûres et peu susceptibles de tomber en panne, mais elles peuvent prendre feu si elles sont endommagées, stockées ou utilisées de manière incorrecte. Alors que les appels se multiplient en faveur de l’élaboration de bonnes pratiques en matière d’ingénierie, la société américaine Firetrace International propose trois mesures que les fabricants, les développeurs et les exploitants de batteries devraient prendre en compte.
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