Avec une capacité de 28,9 MWc, il s’agit selon l’entreprise du plus grand projet solaire du New Jersey et a été construit avec une attention particulière pour les herbes et fleurs sauvages indigènes.
Le groupe canadien a présenté le 17 juin les grands jalons de son nouveau plan stratégie qui vise à faire des États-Unis son marché prioritaire et à étendre sa présence en Europe. L’objectif est également d’augmenter significativement la part du solaire dans le portefeuille d’actifs et de projets et de faire une percée dans le stockage.
La décision de l’administration Biden d’interdire les importations des produits de quatre fabricants de polysilicium basés dans la province du Xinjiang en Chine a déjà suscité des inquiétudes. Si l’Association des industries de l’énergie solaire salue l’effort du gouvernement américain, d’autres analystes mettent en garde contre « un impact négatif » sur l’industrie solaire du pays.
L’énergéticien québécois a mis en service les centrales Gabrielle-Bodis et Robert-A.-Boyd, qui possèdent une puissance cumulée de 9,5 MWc et dont l’objectif est d’étudier la pertinence de l’énergie photovoltaïque dans la Province et dans le cadre de la stratégie énergétique future de Hydro-Québec.
Selon l’Association des industries de l’énergie solaire (SEIA), un nouveau record a été établi au premier trimestre 2021, avec 3,6 GW de nouvelles capacités ajoutées. Le Texas représente la plus grande part, avec plus de 1,4 GW.
Lors d’une conférence organisée par la Chambre de commerce et d’industrie française au Canada (CCIFC) organisée le 3 juin, Patrick Decostre, son président, est revenu sur la stratégie de responsabilité sociétale qui fera partie intégrante de la stratégie d’affaires de l’entreprise dans la mise à jour de son plan stratégique, dévoilée le 17 juin prochain.
Les cellules solaires de la station spatiale ont été fournies par Spectrolab, filiale de Boeing.
S’inspirant de l’initiative européenne HyDeal Ambition, le consortium HyDeal LA, à Los Angeles, vise à surmonter le coût élevé de l’hydrogène vert en lançant un cluster commercial à grande échelle. L’une des premières concrétisations porte sur la conversion de centrales électriques fonctionnant au charbon.
Des scientifiques américains de l’Université d’Harvard ont créé une nouvelle conception de batteries à semi-conducteurs lithium-métal, plus stable que les batteries Li-Ion, qui pourrait potentiellement recharger les véhicules électriques en 10 à 20 minutes.
Pour son système stockage d’énergie Megapack, Tesla – le constructeur américain de voitures électriques – aurait opté pour des batteries au phosphate de fer lithié (LFP), sans cobalt.
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