Les dernières innovations du marché de l’hydrogène mondial : la société ITM Power, spécialisée dans le stockage de l’énergie et les carburants propres, ouvre une usine d’électrolyseurs de 1 GW au Royaume-Uni. Le fabricant de pièces automobiles sud-coréen Hyundai Mobis investit 1,1 milliard de dollars dans deux usines de piles à hydrogène dans son pays.
Une équipe de recherche internationale a utilisé des microsphères nanostructurées – composées de cuivre, de fer et d’oxyde de fer – pour l’anode négative de batteries au lithium-ion. Cette nouvelle technique offrirait une capacité trois fois supérieure à celle des batteries basées sur des anodes en graphite.
La cellule solaire a été développée par des scientifiques coréens pour des applications de fenêtres génératrices d’énergie. Ils ont construit l’appareil avec des contacts arrière transparents en oxyde conducteur (TCO) et une couche texturée de polydiméthylsiloxane (PDMS) avec des propriétés de diffusion de la lumière et antireflet.
Des scientifiques sud-coréens ont développé une cellule pérovskite avec une efficacité de conversion de 24,4 %. Ils prétendent qu’elle maintient plus de 80 % de son efficacité initiale après 1300 heures dans l’obscurité à 85 °C.
La réglementation entrera en vigueur le 15 juin. L’empreinte carbone des panneaux sera calculée en fonction des analyses de cycle de vie de leurs impacts environnementaux selon la norme coréenne KS I ISO 14040.
Les données internationales suggèrent que les incendies causés par des installations photovoltaïques en toitures sont rares. Cependant, les autorités de nombreux pays peinent à centraliser ces informations.
Le fabricant coréen a augmenté ses ventes de panneaux photovoltaïques en Allemagne, atteignant 760 MW l’année dernière. Malgré la concurrence et la pression sur ses marges, Hanwha se prononce optimiste. Ces derniers mois, la société a continué à diversifier ses opérations.
Un article de recherche rédigé par des scientifiques du US National Renewable Energy Laboratory décrit une nouvelle approche pour fabriquer des cellules solaires à base d’arséniure de gallium. L’approche, appelée « germanium sur vide » pourrait permettre une production rentable et en grande quantité de cellules photovoltaïques à base de matériaux III-V, tels que l’arséniure de gallium.
Un article de recherche rédigé par des scientifiques du Laboratoire national d’énergie renouvelable des États-Unis décrit une nouvelle approche de la production de cellules à base d’arséniure de gallium. L’approche, appelée « germanium on nothing » (germanium sur rien), pourrait permettre de rendre rentable la production en volume de cellules photovoltaïques à base de matériaux III-V tels que l’arséniure de gallium.
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