Selon l’Observatoire des transitions environnementales et sociétales publié par le cabinet De Gaulle Fleurance & Associés, entre 2000 et 2018, le nombre de décisions de justice évoquant la « transition énergétique » a été multipliée par sept.
Première commune à avoir adhéré à la coopérative Énergies partagées Alsace (EPA), Kingersheim vient de lancer un nouveau projet de centrale photovoltaïque en toiture, d’une puissance de 100 kWc.
L’entreprise britannique Roof Tiles Technology Ltd a mis au point une tuile solaire dont le rendement revendiqué est de 17,5% et la puissance de 175 W par mètre carré. Le fondateur de l’entreprise, Antonio Lanzoni, indique qu’un système photovoltaïque utilisant ce produit coûterait 25% à 30 % de plus qu’une toiture solaire standard.
Le producteur indépendant d’énergies renouvelables Neoen vient d’annoncer le succès de sa première émission d’obligations convertibles vertes en Europe pour un montant nominal de 170 millions d’euros.
Le groupe Apex Energies, spécialiste depuis 30 ans du photovoltaÏque, vient de rendre public son rapport annuel, montrant une forte progression de son chiffre d’affaires en 2019, à 30 millions d’euros, et des perspectives encore meilleures pour 2020.
Dracula Technologies, start-up basée à Valence conceptrice d’une technologie destinée à alimenter en énergie les objets connectés grâce au photovoltaïque organique, annonce une levée de fonds de 2,2 millions d’euros auprès de deux industriels, MGI Digital Technology et ISRA Cards, afin de lancer une ligne de fabrication en pré-série
Nommé TAFOUK1, le projet prévoit la réalisation de centrales photovoltaïques d’une capacité totale de 4 GW d’ici 2024. Un investissement compris entre 3,2 et 3,6 milliards de dollars sera nécessaire, et plus de 56 000 emplois devraient être créés pendant la phase de construction.
Totalisant une capacité de 12 MWc, les projets lauréats sont des projets agricoles en maraîchage, viticulture ou encore arboriculture. Ils représentent un investissement de près de 16 millions d’euros.
Selon des scientifiques du MIT, les batteries usagées de véhicules électriques pourraient être plus intéressantes économiquement que les systèmes de stockage spécialement conçus pour l’énergie solaire à l’échelle du réseau en Californie. Le déploiement de ces batteries de seconde vie de véhicules électriques pourrait ne coûter que 60 % du prix d’achat initial et il est possible de les agréger efficacement pour permettre un stockage à grande échelle, même si leur capacité n’atteint que 80 % de leur capacité initiale.
Cette dette senior – la plus importante jamais mise en place par le groupe Technique Solaire – comprend deux tranches Brownfield (16 et 19 millions d’euros respectivement) et une tranche Greenfield de 76 millions d’euros. Cette dernière tranche permettra de financer l’ensemble des projets de Technique Solaire lauréats des appels d’offres de la Commission de régulation de l’énergie 4.5, 4.6, 4.7, et 4.8.
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