Le programme énergétique du candidat de la France Insoumise est clair : un mix électrique à 100% d’énergies renouvelables d’ici 2050 et une sortie du nucléaire et des énergies fossiles. La feuille de route du candidat est assez bien détaillée et reprend quasi intégralement les prérogatives de La Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) qui vise à atteindre la neutralité carbone en 2050. Le programme intègre une baisse de 65 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 en mettant à profit les scénarios NegaWatt et RTE pour combiner transition, sobriété et efficacité énergétique.
Yannick Jadot a accepté de répondre aux questions de pv magazine France sur sa politique énergétique. Le candidat d’Europe Écologie Les Verts (EELV) vise un minimum de 25 GW de puissance installée en plus de photovoltaïque à la fin de son mandat, ainsi qu’un plan d’investissement public de 25 milliards d’euros supplémentaires par an dans les infrastructures de la transition énergétique.
Entre atteinte des objectifs climatiques et nécessité de renforcer la souveraineté, le prochain mandat sera crucial pour la trajectoire énergétique de la France. Toute cette semaine, pv magazine France vous propose donc un décryptage des programmes des candidats à l’élection présidentielle en matière de développement des énergies renouvelables, et plus spécifiquement du solaire. Pour débuter cette série, nous faisons le point sur les propositions de Emmanuel Macron, de La République En Marche, qui pose des objectifs pour 2050 en termes de nucléaire et d’énergies renouvelables.
L’association de défense de l’environnement s’est associée à l’Institut Rousseau pour publier une étude détaillée sur les coûts courants économiques (CCE) de trois sources d’énergie, le nucléaire, le photovoltaïque et l’éolien, afin d’alimenter le débat sur les orientations que doit prendre la France sur son futur mix électrique.
Le gestionnaire de transport d’électricité a présenté lundi 25 octobre son étude prospective sur le mix électrique et l’adaptation du réseau nécessaires pour atteindre la neutralité climatique en 2050. Dans tous les cas, les capacités photovoltaïques à construire sont importantes, de 70 GW à 208 GW à cet horizon, en fonction des simulations étudiées.
A ce jour, l’entreprise française exploite 20 centrales solaires à travers le pays, d’une puissance agrégée de près de 390 MWc et y construit 14 projets dont des centrales solaires flottantes innovantes.
Deux études récentes montrent que de nombreuses institutions mondiales évaluant les voies de décarbonation dans le monde ne prennent pas suffisamment en compte la baisse des coûts et utilisent des LCOE trop élevés pour la technologie solaire d’ici à 2050. Résultat, le potentiel de l’énergie photovoltaïque dans le futur mix énergétique est systématiquement sous-estimé.
Selon un accord signé avec le gouvernement éthiopien, l’entreprise basée à Abu Dhabi s’occupera du développement et du financement des parcs photovoltaïques, ainsi que de l’infrastructure nécessaire au transport de l’électricité.
Afin de participer à la réflexion de politique publique sur le choix du mix électrique en 2050, trois chercheurs du CIRED ont mis en ligne un outil interactif qui étudie 315 scénarios de parts des énergies renouvelables et leurs coûts moyens de production.
Réseau de Transport d’Electricité (RTE) a publié son diagnostic sur la sécurité d’approvisionnement en électricité en France, à l’horizon 2025. Au vu de l’évolution du mix énergétique dans les prochaines années (fermetures de capacités de production, accélération des énergies renouvelables), le système électrique s’inscrit dans une dynamique en trois temps.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.