La production issue de l’énergie photovoltaïque s’est élevée à 7 193 GWh, soit une hausse de 12,2 % par rapport à l’année 2022. Selon le gestionnaire Elia, il devient de plus en plus courant que la moitié de la consommation belge soit couverte par les EnR : en 2023, c’était le cas dans 12,5 % du temps, soit le triple de l’année 2022.
Le gouvernement français a dévoilé sa « Stratégie française pour l’énergie et le climat » (SFEC), visant à sortir des énergies fossiles en 2050. Le document, soumis à consultation publique jusqu’au 15 décembre, confirme l’objectif de 100 GW de photovoltaïque dans sa fourchette haute en 2030, correspondent à une cadence de 7 GW par an de nouveaux projets raccordés. Des ambitions a minima pour l’association écologiste Greenpeace.
Le Parlement européen a adopté la position de sa Commission de l’industrie, de la recherche et de l’énergie sur le projet ce mardi 21 novembre. Les discussions avec les Etats membres devraient débuter à partir du 7 décembre, sachant que les législateurs espèrent une adoption du texte avant les élections européennes de juin 2024.
RTE a présenté le 20 septembre une mise à jour de son rapport « Futurs énergétiques 2050 » pour la période 2023-2035. Le gestionnaire du réseau confirme sa vision d’un mix de production composé de nucléaire et des renouvelables, lesquelles doivent faire l’objet d’un développement immédiat et massif. Pour le solaire, RTE estime que le rythme de 7 GW de nouvelles capacités par an serait “souhaitable”.
Alors que le président de RTE, Xavier Piechaczyk, affirmait encore samedi dernier qu’il ne faut pas opposer le nucléaire aux énergies renouvelables, le groupe de scientifique opposé aux nouvelles installations nucléaires a organisé une conférence de presse à l’Assemblée nationale pour ouvrir le débat sur les nouveaux réacteurs et sur le bouquet énergétique français.
Dans une récente étude, des chercheurs du Bureau européen de l’environnement (EEB), de la Stockholm School of Economics (SSE) et de l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact climatique (PIK) ont questionné la pertinence du développement de nouvelles capacités nucléaires dans les stratégies énergétiques des Etats-Unis et de certains pays d’Europe, notamment en France. En effet, et contrairement aux idées reçues, les sources d’énergie renouvelables ont dépassé le nucléaire en termes de coûts et de rapidité de déploiement.
La Cour d’appel de Paris a rejeté le dernier recours des actionnaires du groupe public d’électricité, officialisant l’opération de rachat total des parts de l’énergéticien par l’Etat français, dans la stratégie annoncée par le gouvernement de relancer le développement nucléaire.
Plusieurs agences européennes de l’ONG ont déposé un recours devant la Cour de justice de l’Union européenne contre la Commission européenne et l’acte délégué de mars 2022 qui inclut le gaz fossile et le nucléaire dans la liste des investissements durables de l’UE.
Le candidat proposé par le Président de la République a été rejeté par les Parlementaires qui ont dénoncé un cumul de fonctions excessif, un manque de préparation et une position pro-nucléaire qui risquait d’entacher la crédibilité et l’efficacité de l’agence publique sur l’application des mesures de développement des énergies renouvelables.
Sur 2022, la filière solaire a produit 6,4 TWh d’électricité (représentant 7,3 % du mix de production électrique), l’éolien terrestre 4,4 TWh (5 %) et l’éolienne off-shore 6,6 TWh (7,5 %).
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