Amarenco débute la 3ème tranche de sa collecte participative de 6,5 M€

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Après une première tranche de financement participatif clôturée mi-novembre 2021 pour un montant de deux millions d’euros et une deuxième tranche clôturée fin décembre 2021 pour un montant de 1 112 000 € millions d’euros, Amarenco a débuté la troisième étape de une émission d’obligations simples d’un montant cible total de 6,5 millions d’euros. Cette fois-ci, l’objectif de la campagne menée via la plateforme Lendosphere est d’atteindre 2,5 millions d’euros. A ce jour, 204 prêteurs ont contribué à hauteur de 168 800 euros. la dernière tranche sera lancée ultérieurement.

Au travers de cette opération, la société AF Project Co SAS, filiale à 100% du groupe Amarenco, veut financer en partie le développement et la construction de 237 projets de centrales solaires sur toitures, ombrières ou serres d’une puissance cumulée de 46 MWc. Ils produiront annuellement environ 61 000 MWh. « Amarenco poursuit une stratégie de croissance soutenue, qui repose sur une équipe et des partenariats efficaces en France et à l’international. Le financement participatif est devenu un outil stratégique de financement de cette croissance, permettant à Amarenco de mobiliser ses fonds propres au plus près des besoins de développement », a souligné Olivier Carré, Directeur opérationnel d’Amarenco France.

Ces projets sont répartis sur toute la France, avec 129 projets en Métropole et 108 projets en Outre-Mer (Guyane, Guadeloupe, Martinique, Mayotte, La Réunion). Ils se trouvent à des stades de maturité différents, du développement avec tarif de vente d’électricité sécurisé à la construction. Le groupe Amarenco France, qui œuvre au développement et à la mise en service des centrales du portefeuille d’AF Project Co, ambitionne de mettre en service l’ensemble des centrales d’ici juin 2024. Le portefeuille représente un investissement total de 65,5 millions d’euros, et générera un chiffre d’affaires annuel de 6,4 millions d’euros.

Parmi les projets emblématiques se trouve par exemple l’installation d’une centrale sur toiture dans les Bouches-du-Rhône (d’une puissance de 4,4 MWc). Ou encore la solarisation d’un lycée à Mayotte (pour 0,8 MWc) et celle de la toiture d’un hôtel en Guyane (0,7 MWc). En Outre-mer, ils permettent de répondre à des enjeux importants d’indépendance énergétique et de production décentralisée et renouvelable de l’électricité consommée localement.

 

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