Une ordonnance émise fin juin ordonne aux agents des douanes américains de retenir les expéditions solaires contenant des produits à base de silice provenant d’une entreprise chinoise et de ses filiales. Trois acteurs du solaire sont peut-être déjà impactés.
Le projet d’électrolyseur de 30 MW, qui a reçu le soutien du ministère fédéral de l’Economie et de l’Energie, vise à décarboner les industries de la chimie et de la sidérurgie de la région et à favoriser le mobilité propre. Une première tranche de 20 MW devrait être opérationnelle début 2023.
L’appel d’offres comprendra notamment une réserve de puissance “ultra-rapide” de 600 MWc qui devront être opérationnels dans les huit mois, soit avant l’été 2022.
La nouvelle usine devrait commencer la production d’ici six mois et desservir les usines d’assemblage de cellules et de modules de la société en Malaisie, ainsi que l’usine d’assemblage de modules aux États-Unis.
La ligne sera utilisée dans une nouvelle usine d’assemblage de panneaux photovoltaïques située en Cisjordanie palestinienne qui devrait commencer ses activités de fabrication l’année prochaine.
La cité-Etat veut développer massivement les infrastructures dédiées dans le cadre de son Green Plan 2030, qui inclut notamment comme objectif d’atteindre 60 000 points de recharge à la fin de la décennie.
Selon un article publié par une université finlandaise, le solaire à grande échelle pourrait employer 44 millions de personnes dans le monde si la neutralité climatique était atteinte, ainsi que 16 millions dans le solaire résidentiel et industriel. L’Asie et l’Europe seraient les deux grandes zones géographiques gagnantes.
Situées en Castilla y León, Castilla-La Mancha et Estrémadure, les nouvelles installations développées et exploitées par Solaria ont une capacité totale de 261,05 MWc.
Une étude de l’Université de Stanford et de l’Université de Cornell montre que l’hydrogène bleu peut produire plus d’émissions à effet de serre que la chaleur produite par le charbon et le gaz. La modélisation prend en compte les émissions d’hydrogène bleu en tant que dioxyde de carbone et méthane fugitif non brûlé, ainsi que les émissions du cycle de vie liées à l’extraction, au transport, au stockage et à l’utilisation du méthane.
La part du solaire dans la capacité installée totale de renouvelables s’élève à environ 44 %, et celle de l’éolien à 40 % selon les données fournies par les autorités indiennes.
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