500 MW seront mis aux enchères, répartis en 200 MW pour le solaire thermoélectrique, 140 MW pour le photovoltaïque distribué, 140 MW pour la biomasse et 20 MW pour les autres technologies.

Par le biais de ce processus d’adjudication, les autorités portugaises souhaitent sélectionner des projets de PV flottants d’une taille comprise entre 8 et 10 MW. Six réservoirs d’eau ont déjà été identifiés pour leur déploiement.

Le projet Antípodas a été annoncé par le gouvernement chilien la semaine dernière. Il vise à tirer parti de l’énorme potentiel solaire du désert d’Atacama, qui est la région du monde où le rayonnement solaire est le plus élevé.

pv magazine s’est entretenu avec l’installateur espagnol Multisistemas E2, qui explique comment les systèmes photovoltaïques actuellement touchés par l’éruption du volcan Cumbre Vieja aux Canaries sont nettoyés.

Sofos Energía gère un portefeuille d’environ 1 GW de projets en développement et compte plus de 350 projets d’autoconsommation, avec une puissance cumulée totale de plus de 35 MWc.

La cendre qui recouvre intégralement les modules solaires des systèmes photovoltaïques peut causer plusieurs problèmes : un problème structurel causé par le poids des cendres ; le verre rayé par les cendres ou par la chute éventuelle de pierres ; et la corrosion chimique sur la feuille arrière si les cendres contiennent des composés agressifs tels que des acides ou des sulfures. Les effets de l’éruption volcanique actuelle en Espagne ne seront visibles qu’après que la couche de cendres d’un mètre de haut qui les recouvre aura été retirée.

La société espagnole Axial Structural présente un nouveau type de tracker pour les installations agrivoltaïques. Le produit peut être adapté à différentes conditions de sol et de pente, avec une programmation permettant d’optimiser la lumière et l’ombre pour différentes cultures dans différents climats.

Le gouvernement de la région espagnole de Navarre a approuvé un projet solaire de 160 MW porté par l’association locale d’énergie renouvelable Anpier. La centrale sera déployée sur le canal de Navarre, qui est l’un des plus grands canaux d’irrigation artificiels du pays.

Après trois ans de concertation, le gouvernement français a validé le tracé de la future ligne électrique entre les postes de Cubnezais (près de Bordeaux) et Gatika (près de Bilbao), sur une distance d’environ 400 km. Les travaux devraient débuter en 2023, pour se terminer en 2027.

Dans le cadre du projet HyEx, l’hydrogène vert sera utilisé par l’usine de production d’ammoniac vert appartenant à l’industriel Enaex, située sur un terrain adjacent.