La Métropole écologiste souhaite multiplier par cinq sa production d’électricité solaire, pour atteindre 250 à 300 GWh produits par an avant 2030. Elle souhaite notamment valoriser son foncier, bâti et non bâti, pour permettre le développement rapide d’installations photovoltaïques et créer un Club solaire pour fédérer les professionnels de la filière.
Lors du premier jour des tables rondes organisées par pv magazine, cinq sessions ont abordé les thèmes suivants : une Europe propre et libre ; la politique RSE des entreprises ; comment décarboner les maisons aujourd’hui ; Made in Europe : augmentation du volume, et PV sur roues : des véhicules électriques solaires plus sophistiqués.
Le Conseil a convenu de fixer à l’échelle de l’Union européenne un objectif plus contraignant de 40 % d’énergie produite à partir de sources renouvelables dans le bouquet énergétique global d’ici 2030, contre un objectif actuel d’au moins 32 %.
Située entre Nice et Antibes, la ville de Villeneuve-Loubet, qui compte plus de 16 000 habitants, a lancé un projet de requalification de certains de ses quartiers et a opté pour des installations lumineuses solaires qui répondent donc à la fois au besoin de sécurité des usagers, tout en limitant les nuisances lumineuses et donc l’impact sur la biodiversité.
Via sa filiale Engie Energy Access, le groupe français a obtenu un prêt de 10 millions d’euros auprès de la Banque européenne d’investissement pour déployer 107 000 systèmes solaires domestiques dans les zones isolées et non connectées du pays. Les foyers peuvent acheter l’équipement via un mode de paiement à l’acte qui couvre également l’acquisition du matériel.
Avec 550 000 m² d’entrepôts, jusqu’à 85000 m² de zone de services et 300 000 m² de réserves foncières, la plateforme d’e-logistique implantée à Cambrai se voit comme un hub premium en Europe et a signé une convention de partenariat avec Engie qui se chargera du déploiement d’un ensemble de solutions de décarbonation.
Soutenu par un consortium d’industriels et des investissements publics, l’écotrain est alimenté à 90 % en énergie solaire et peut être déployé sur les lignes existantes pour le transport de passagers et le fret. Le concept repose sur une boucle locale d’énergie, les principes de mobilité « au fil du soleil » et un système pensé en courant continu. Amarenco est en charge de développer la partie électrique avec des installations PV + stockage en AC collective. Un pré-démonstrateur devrait être testé sur le site du constructeur Socofer à côté de Tours à la mi-2023 et bénéficie du soutien de l’IMT Mines d’Albi dans le cadre d’un programme de recherche pour l’AC collective.
Le principal groupe industriel portugais dans le domaine des énergies renouvelables prépare un guide d’octroi de licences pour les projets énergétiques terrestres. Il vise à simplifier et à clarifier toutes les étapes du processus d’octroi de licences afin d’accélérer la mise en œuvre de projets solaires et éoliens.
Selon la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) qui co-finance le projet au côté de l’IFC (dans le cadre du programme Scaling Solar), la nouvelle installation PV permettra de faire passer la part des EnR dans le mix énergétique de 27% en 2021 à 40% en 2024, et d’augmenter le taux d’électrification du pays de 59% en 2021 à 75% en 2025.
La réalisation du parc photovoltaïque de 40 MWc et des batteries lithium-ion a été confiée à BayWa r.e.. De son côté, le spécialiste de l’hydrogène renouvelable Lhyfe se chargera de l’électrolyseur et de trouver des débouchés pour la commercialisation de l’hydrogène dans un rayon de 100 à 150 km auprès des acteurs industriels et de la mobilité.
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