Verde Technologies, une entreprise américaine issue de l’Université du Vermont et spécialisée dans les technologies solaires pérovskites à jonction unique et à couches minces en tandem, a démontré que ses procédés de revêtement sont transférables aux lignes de fabrication commerciales existantes de rouleau à rouleau dans le cadre d’un projet avec le fabricant compatriote Verico Technology.
Si la Chine reste en première ligne des progrès technologiques, la R&D française est capable de fournir des innovations sur les processus de fabrication et sur les technologies photovoltaïques couches minces. Pour le tandem-pérovskite, au coeur des projets de gigafactories, on mise sur des technologies (quasi)-matures. Pour le CIGS et le PV organique qui sont développés dans les plus petites lignes, il faut structurer des filières spécifiques.
Alors qu’en France, plusieurs projets de production de cellules et de modules solaires ont été annoncés pour 2025 à 2027, l’innovation technologique continue d’être dominée par les fabricants Tier 1 chinois. De fait, les futures usines françaises sont-elles condamnées à courir sans cesse derrière leurs concurrents ou peuvent-elles trouver des éléments de différenciation ?
Le département des transports du Minnesota évalue actuellement la possibilité d’associer la production d’électricité aux barrières pare-neige utilisées pour protéger les routes.
Le module dispose de 96 cellules à hétérojonction et est disponible en cinq puissances, allant de 300 Wc à 320 Wc pour une transparence de 39 %. A ce titre, il est adapté à l’horticulture maraîchère, à l’arboriculture et à la floriculture.
Des chercheurs danois rapportent que le traitement à l’acide ascorbique de cellules solaires organiques à accepteur nonfullerène exerce une activité antioxydante et produit un effet photostabilisant. La cellule a atteint un rendement de conversion d’énergie de 9,97 %, une tension en circuit ouvert de 0,69 V, une densité de courant en court-circuit de 21,57 mA/cm2 et un facteur de remplissage de 66 %.
La société canadienne Solaires Entreprises affirme que ses modules intérieurs en pérovskite sont adaptés à l’alimentation d’une gamme d’appareils électroniques, tels que les claviers sans fil, les serrures de porte intelligentes, les étiquettes d’étagères électroniques et les capteurs.
Doubler les financements en recherche et innovation, miser sur une intégration intelligente et massive du photovoltaïque sur les réseaux européens, lancer une campagne de communication solaire ou encore décliner la stratégie européenne entre applications PV urbaines et systèmes au sol et agri-voltaïques, voilà autant de propositions développées par l’association des professionnels du solaire européen dans sa nouvelle publication à destination des pouvoirs publics de l’UE.
Le contrat porte sur la production d’un parc photovoltaïque de 2,2 MWc à Saint-Paul lez Durance (13) qui permet de couvrir environ 30% des besoins en électricité de la banque mutualiste.
Le système est installé à près de 3 000 mètres d’altitude. Les remontées mécaniques espèrent obtenir un rendement électrique supérieur de 40 % à celui des installations équivalentes installées dans la vallée, en raison de la réverbération et du fait que les modules bifaciaux ne sont jamais recouverts de neige. Enfin, l’installation nécessite moins de surface au sol.
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