Pour cette période, largement sous-souscrite, le prix moyen se situe à 90,91 €/MWh, en hausse de 6,6 % par rapport à la deuxième. La moitié Nord de la France obtient un peu moins de la moitié de la capacité totale attribuée.
La Commission de Régulation de l’Energie a publié une mise à jour des cahier des charges de 17 appels d’offres EnR, adaptés pour faciliter le déploiement rapide des projets dans un contexte de crises énergétique et post-Covid. Les aménagements proposés sont applicables aux lauréats de toutes les périodes, dès le 1er septembre 2022, à condition qu’ils en fassent la demande au ministre en charge de l’énergie.
La centrale d’une puissance de 561 kWc comptera 1 200 panneaux solaires installés sur plusieurs types de structures : des ombrières en forme de vague, une pergola, une toiture terrasse, des parasols et tripodes géants.
Solar Cloth développe des modules photovoltaïques flexibles à partir de cellules CIGS (cuivre, indium, gallium et sélénium), sans verre et présentant une emprunte carbone près de 50 % inférieur au silicium, selon son président-fondateur Alain Janet avec qui pv magazine France s’est entretenu. L’occasion aussi de faire le point sur le projet de création d’une ligne de production de cellules CIGS en France en 2023 et les contrats de la société sur des applications innovantes en VIPV et en agrivoltaïsme notamment.
Les nouvelles dispositions font partie de la nouvelle version de la loi sur les énergies renouvelables du pays, qui a été approuvée le 7 juillet par le Parlement allemand.
Le développeur français annonce l’ouverture d’un financement participatif, via Lendosphere, dédié au développement et à la construction de 119 projets de centrales solaires sur toitures, ombrières ou serres, d’une puissance cumulée de 21 MWc. Cette campagne est ouverte à tous avec un objectif de 3 millions d’euros.
La Roumanie devrait bientôt appliquer une nouvelle réglementation aménageant notamment le droit foncier de manière à faciliter le développement de projets d’EnR sur les terres agricoles. Les nouvelles dispositions seront en vigueur jusqu’en 2026 et permettront la construction de centrales photovoltaïques, d’éoliennes, de centrales à biomasse, de centrales à bioliquide, de centrales à biogaz, de projets de stockage et de postes de transformation directement sur des terres relevant de classes de terres agricoles auparavant interdites.
Au total, 4 768 panneaux et 12 onduleurs sont installés sur une surface de 9 000 m2 et la centrale couvre le parking des services techniques de la ville de Gruissan, ainsi qu’une partie d’un parking public du stade de Mateille.
Des scientifiques de Corée du Sud ont combiné la production photovoltaïque avec la culture de légumes et ont constaté que l’ombrage des panneaux solaires donne des résultats favorables pour des cultures telles que le brocoli et le chou.
Soutenu par un consortium d’industriels et des investissements publics, l’écotrain est alimenté à 90 % en énergie solaire et peut être déployé sur les lignes existantes pour le transport de passagers et le fret. Le concept repose sur une boucle locale d’énergie, les principes de mobilité « au fil du soleil » et un système pensé en courant continu. Amarenco est en charge de développer la partie électrique avec des installations PV + stockage en AC collective. Un pré-démonstrateur devrait être testé sur le site du constructeur Socofer à côté de Tours à la mi-2023 et bénéficie du soutien de l’IMT Mines d’Albi dans le cadre d’un programme de recherche pour l’AC collective.
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