Après le report de la remise des candidatures à l’appel d’offres « Solar 1000 MW », aucune nouvelle date butoir n’a été annoncée. Par ailleurs, plusieurs mises à jour ont été apportées au texte.
Les nouvelles dispositions font partie de la nouvelle version de la loi sur les énergies renouvelables du pays, qui a été approuvée le 7 juillet par le Parlement allemand.
D’une puissance de 30 MW, le parc photovoltaïque est le premier d’un portefeuille de quatre projets solaires développés en partenariat public-privé de producteur indépendant d’électricité à entrer en service dans le pays. L’électricité produite sera entièrement vendue à la compagnie nationale Sonabel pour alimenter le réseau burkinabé.
Mis au point par le fabricant chinois Enerack, la structure peut accueillir tous types et toutes tailles de panneaux solaires et est conçue à partir de technologies imperméables pour garantir une protection contre la pluie.
Compte-tenu de la proximité entre les exploitations agricoles et les autoroutes à certains endroits, des chercheurs américains assurent que l’installation de parcs agrivoltaïques pour alimenter des stations de recharge des véhicules électriques permettrait de réduire à la fois les émissions de CO2 et l’inquiétde des conducteurs face au risque de ne pas trouver de station de recharge à temps.
L’opération permettra de financer les coûts de développement et de pré-construction d’un portefeuille de projets solaires et éoliens répartis sur douze départements français pour une puissance totale de 90 MW.
Située sur deux plans d’eau issus de l’exploitation d’une carrière de sable dans le Centre-Val de Loire, la centrale de 18,5 MWc devrait assurer une production de 20,6 GWh/an. Le montant de la campagne est fixé à 150 000 euros.
L’objectif des deux acteurs sera de mettre en place des projets d’agrivoltaïsme, avec les synergies associées, tout en assurant un cadre de développement rigoureux : larges démarches de participation et de concertation, études d’impact environnementales et techniques, études et conventions agricoles, modèles économiques non subventionnés…
Après deux ans d’attente, la première centrale solaire flottante de Tunisie s’élève enfin au-dessus des eaux. Inaugurée le 25 juin dernier, cette installation vise à évaluer le potentiel de cette technologie pour préparer un développement plus important sur le continent africain.
Le fabricant tunisien de modules a déclaré que son produit est basé sur des cellules solaires dopées au gallium de type p et qu’il convient aux applications résidentielles et commerciales. Le panneau est disponible en neuf versions avec une puissance nominale allant jusqu’à 505 W et un rendement allant jusqu’à 21,44 %.
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