Les modules solaires de la première centrale Phébus 1 d’une puissance de moins de 1 kWc ont montré une baisse de leurs performances de 0,66 % par an sur 31 ans et de 1,11 % par an sur les 11 dernières années. Des résultats qui dépassent les garanties de la plupart des fabricants qui portent sur un maintien de la puissance du panneau de 80 % après 25 ans.
Une association professionnelle néerlandaise a informé le Parlement d’une possible vague de fermetures et de faillites dans le secteur de l’énergie solaire en toiture aux Pays-Bas.
Le fonds d’investissement parisien a racheté les parts des actionnaires historiques Omnes, BPIFrance et Société Générale Capital Partenaires et prend donc une participation majoritaire. Cette opération lui permet de renforcer son positionnement dans l’hydroélectricité, le solaire et l’éolien. De son côté, Unite sécurise de nouveaux moyens financiers, afin d’atteindre son objectif de développer 1 GW de photovoltaïque par an.
À Changé (Mayenne), deux sociétés industrielles voisines ont choisi de se partager l’énergie produite par des panneaux photovoltaïques installés sur le toit de l’une d’entre elles, dans le cadre d’une opération d’autoconsommation collective réalisée par MayEnR.
Retrouvez chaque semaine dans pv magazine les appels d’offres publiés relatifs aux projets photovoltaïques en France.
Le spécialiste de l’étanchéité Iko lance Iko Excel Solar, une solution photovoltaïque légère permettant d’équiper les toitures ne supportant pas les charges trop importantes, en neuf comme en rénovation. Le module de 300 Wc revendique un poids d’environ 2,5 kg/m².
Une puissance totale de 602 MW, soit 81 % de plus que pour la même période de l’année précédente. Cela représente presque 200 systèmes installés par jour.
Devant le refus du gouvernement de légiférer sur la loi quinquennale sur l’énergie, les sénateurs du groupe Les Républicains ont déposé leur propre proposition de loi de programmation énergétique, qui acte en particulier sur une relance du nucléaire et 50 GW de photovoltaïque d’ici à 2030.
Afin de réduire les dépenses publiques induites par l’arrêté S21, la DGEC propose soit de passer le guichet ouvert jusqu’à 500 kWc en guichet fermé, soit d’abaisser le seuil d’éligibilité de l’arrêté tarifaire à 100 kWc. Les syndicats Enerplan et SER sont vent debout contre cette proposition qui illustre à nouveau les contradictions du gouvernement envers le photovoltaïque et les renouvelables en général.
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