Remporté dans le cadre d’un appel d’offres du Ministère de l’Energie et de l’Environnement du Portugal, le projet prévoit la mise en place du nouveau parc solaire flottant près du barrage de Cabril, à Sertã, dans le centre du pays. La production de la centrale sera couverte par un contrat d’achat d’électricité de 15 ans prévoyant un prix de 41,025 euros par mégawattheure.
Pour la candidate de Lutte Ouvrière, les stratégies environnementales sont aujourd’hui dans l’impasse du fait de « la mainmise sur l’économie des grands groupes capitalistes ». Son programme propose donc la reprise en main par les travailleurs du système économique afin de traiter les questions énergétiques et écologiques dans l’intérêt de tous. En opposition profonde avec le système gouvernemental, Nathalie Arthaud ne formule à ce stade aucune mesure concrète sur la politique énergétique. Elle entend toutefois mettre en place une « économie rationnelle, concertée et planifiée, à l’échelle de la planète » en « enlevant aux groupes privés la direction de l’industrie et des transports ».
Pour les petites installations solaires d’une puissance inférieure à 500 kW, le taux de réfaction tarifaire passe de 40 à 60 %.
Les coûts de raccordement des centrales solaires d’une puissance inférieure à 500 KWc seront pris en charge à hauteur de 60 % contre 40 % précédemment. Un arrêté pour augmenter la prise en charge par le tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité (TURPE) sera publié dans les prochains jours.
La prime à l’intégration paysagère permet au porteur de projet de bénéficier d’une prime pour des installations bénéficiant d’un contrat d’achat respectant les critères définis dans l’arrêté tarifaire du 6 octobre 2021, afin de compenser les surcoûts liés aux produits d’intégration. Une première liste de quatre produits éligibles a été publiée par le MTE.
Le Sénat évoque « une évolution législative nécessaire [de la loi littoral de 1986] pour se mettre en cohérence avec les ambitions nationales de développement des énergies renouvelables ». Pour prévoir un développement encadré, le Sénat propose d’ouvrir le déploiement de panneaux solaires dans ces zones sensibles uniquement dans des friches.
La filiale du groupe Casino vient de signer deux lignes de crédits pour financer sa stratégie visant à détenir et exploiter ses actifs sur le long terme. Le fonds d’investissement américain Farallon Capital apporte 109 millions d’euros en obligations convertibles et un pool de banque complète le financement avec une dette de 87 millions d’euros.
Le groupe énergétique français publie le bilan financier de l’année 2021 et annonce la mise en service de 1,1 GW d’actifs solaires. Le chiffre d’affaires de ses activités renouvelables (qui comptent les actifs éoliens et de gaz naturels) s’est élevé à 3 661 millions d’euros, soit une hausse de quelque 25 % par rapport à 2020.
Le producteur d’énergies renouvelables français Neoen annonce une progression de 13 % de son chiffre d’affaires solaire par rapport à 2020. Le groupe profite notamment d’un pool de projets lauréats de l’AO CRE 4.10 sur les centrales au sol en France, de la poursuite d’un PPA avantageux sur la centrale d’El Llano au Mexique et de la mise en service de la centrale d’Altiplano en Argentine.
La métropole de Rouen a mis en place un service public de la transition énergétique baptisé «Énergies Métropole Rouen Normandie» afin d’atteindre 100 % d’EnR et une réduction de 80 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050. La première assemblée de partenaires a réuni quelque 80 acteurs du secteur : collectivités locales, ingénieries publiques et parapubliques, financeurs, gestionnaires de réseaux, associations, …
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