Les développeurs sont en train de tirer leur épingle du jeu dans les contrats d’achat d’électricité grâce à l’envolée des prix de gros de l’électricité, qui leur permet de vendre leur énergie solaire et éolienne sur le marché libre.
Le Private Infrastructure Development Group (PIDG) a récemment pris un engagement non contraignant à Bruxelles pour fournir un financement de 300 millions de dollars (298 millions d’euros) au projet qui vise à développer 10 GW d’énergie solaire et de stockage dans les 11 pays de la région du Sahel en Afrique.
Cette opération, qui consiste à stocker et à échanger des actifs numériques sur la Blockchain, permet de sécuriser et de faciliter le financement de plus petits projets d’énergie renouvelable en offrant aux investisseurs des opportunités de regroupement dynamiques.
Le financement de 44,5 millions d’euros a été réalisé auprès de trois banques, ING, Rabobank et UniCredit, et porte sur un parc de près de 50 MWc en Andalousie et de deux centrales de 15 MWc chacune, dans le centre et le nord du pays.
Le nouveau rapport de l’AIE montre qu’en orientant les investissements liés à la construction de nouveaux terminaux GNL (25 milliards de dollars par an) vers les EnR une énergie moderne et abordable pourrait être disponible pour tous les habitants d’Afrique d’ici la fin de cette décennie. L’AIE fait aussi le point sur le potentiel de l’hydrogène vert, de l’exploitation des matériaux critiques et sur le déploiement du photovoltaïque (sur le réseau et off-grid) sur le continent.
Partenaires depuis 2017, les deux sociétés ont co-développé un portefeuille de 232 MW de projets éoliens terrestres au travers d’une co-entreprise à parts égales. Cette transaction permet à Boralex d’accéder pleinement à un portefeuille de projets de 338 MW incluant éolien, solaire et stockage d’énergie.
Via la création d’une coentreprise avec le groupe espagnol Umbrella Solar Investment, la société d’investissement française va investir jusqu’à 42 millions d’euros dans 14 projets solaires en développement avancés dans les régions d’Estrémadure, d’Andalousie et dans la Communauté valencienne. La construction des parcs solaires sera confiée à l’EPC IM2 Energía Solar, sachant que certains chantiers pourraient débuter d’ici la fin de l’année.
Face à des temps d’instruction des dossiers qui frôlent les huit ans et à des recours quasi-systématiques, certains développeurs de parcs éoliens augmentent leurs capacités dans le solaire. Pas question pour autant d’abandonner totalement l’éolien, les deux sources d’énergie étant vues comme complémentaires. pv magazine France a mené l’enquête auprès de plusieurs d’entre eux.
Les centrales photovoltaïques Tiper 2 et 4 sont installées sur l’ancien Étamat (établissement du matériel de l’armée) de Thouars et couvrent, avec une capacité totale installée de 9,5 MW, près de 40 % de la consommation électrique des habitants de la commune.
Deux filiales locales du français ont été sélectionnées dans le cadre du programme Beyond the Grid Fund for Africa (BGFA) pour développer des connexions hors réseaux en Zambie. Le BGFA a également signé des contrats d’électrification avec l’entreprise Aress au Burkina Faso et Energity Corporation au Libéria pour un total de huit millions d’euros.
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