Le producteur indépendant d’énergie renouvelable a conclu son premier crédit syndiqué, dont les conditions financières sont indexées sur des indicateurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Le prêt permettra notamment la poursuite des investissements dans le développement de nouveaux projets.
Alors que l’énergie photovoltaïque s’impose progressivement sous d’autres latitudes, elle doit faire la démonstration de sa pertinence chez nous, dans un système électrique français qui fonctionne bien et qui reste peu carboné. La filière photovoltaïque fait face à nombre de préjugés et sa décrédibilisation semble être le passe-temps de quelques conservateurs du système énergétique actuel qui passent outre toute rigueur scientifique. Notre activité de représentants de la filière consiste donc à démonter autant que possible les idées reçues contre l’énergie photovoltaïque. Petit florilège, hélas non exhaustif, des poncifs erronés auxquels notre filière doit faire face.
Le 11 février 2020, a été publiée au Journal officiel la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire. Cette loi tend à modifier en profondeur l’approche des enjeux relatifs à la gestion des déchets. Comme de nombreuses autres filières, celle de la gestion de la fin de vie des panneaux photovoltaïques va évoluer.
De nombreuses usines solaires commencent à reprendre la production en Chine, ce qui laisse penser que les inquiétudes concernant l’approvisionnement en composants photovoltaïques pourraient bientôt s’apaiser. Néanmoins, l’arrêt temporaire de la fabrication aura un impact sur le marché solaire mondial car la mise en œuvre de certains projets sera probablement reportée à l’année prochaine.
Le groupe d’intérêt SolarPower Europe a toutefois salué l’initiative comme un pas dans la bonne direction, notamment parce qu’elle envisage de créer des alliances portant sur les industries à faibles émissions de carbone. Le Parlement européen va maintenant examiner les grandes lignes de ce projet.
Le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité a lancé la 4e édition de son concours Start-up 2020, qui veut permettre aux jeunes entreprises de concrétiser leurs solutions en milieu industriel. La date limite de candidature est fixée au 8 mai.
Neoen, un des lauréats de l’appel d’offres long terme (AOLT) organisé par le gestionnaire du réseau de transport RTE dans le cadre du mécanisme de capacité français, revient sur ses deux projets sélectionnés.
La capacité photovoltaïque installée totale du pays a atteint 4,82 GW fin 2019. La majorité des nouvelles installations photovoltaïques de l’année dernière étaient des projets en toiture.
Dans le même objectif d’électrification d’infrastructures communautaires, le Bénin a obtenu un prêt de la Banque d’Investissement et de Développement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, à hauteur de 21,1 millions de dollars US et le Burundi bénéficiera d’un don de 160 millions de dollars de l’Association internationale de développement, dont 100 millions seront dédiés à des projets d’énergie solaire. Au Burundi, la capacité des projets d’électrification envisagés s’élève à 17 MW.
A l’issue de son dernier conseil communautaire, Ardennes Métropole a décidé de créer une Société d’économie d’énergie mixte locale (SEML) pour développer des énergies renouvelables et va lancer un appel à projet dès 2020 sur le photovoltaïque.
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