Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) se réjouit de la publication de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), qui donne de la visibilité aux différentes filières renouvelables et confirme l’engagement de la France dans la transition énergétique, explique Jean-Louis Bal, son président. « Mais, nous devrons tous être très attentifs aux moyens mis en œuvre pour atteindre, dans les délais, les objectifs fixés », prévient-il.
Au Journal Officiel de la République française sont parus, ce jeudi, deux décrets, datés du 21 avril 2020, largement attendus : celui relatif à la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) et celui relatif aux budgets carbone nationaux et à la stratégie nationale bas-carbone (SNBC).
Le Haut Conseil pour le Climat publie un rapport consacré aux enseignements à tirer de la crise sanitaire du Covid-19. Il émet 18 recommandations pour sortir de cette crise en atteignant nos objectifs climatiques. Il appelle le gouvernement à soutenir les transformations structurelles pour accélérer la transition bas-carbone, car elle renforcera la résilience aux risques sanitaires et climatiques.
Les résultats d’une consultation menée par le syndicat auprès de ses adhérents montrent que leurs chiffres d’affaires pourraient baisser de 30 % en moyenne et que 3000 emplois qualifiés sont menacés. Pour sortir de la crise actuelle, AuRA Digital Solaire appelle à intégrer les énergies renouvelables dans les plans de relance économique.
Dans son étude « Perspectives mondiales pour les énergies renouvelables », l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) montre que la décarbonisation du système énergétique peut contribuer à la reprise à court terme de l’économie et permettre d’atteindre les objectifs climatiques internationaux, tout en améliorant le bien-être de la population. Les gains cumulés du PIB mondial pourraient ainsi être augmentés de 98 000 milliards de dollars par rapport aux plans actuels d’ici 2050, et le nombre d’emplois dans le secteur des énergies renouvelables pourrait presque quadrupler pour atteindre 42 millions.
Dans le cadre du programme SDE+, le fait que les prix de l’énergie soient négatifs pendant plus de six heures d’affilée implique le non-versement d’aide pour les installations d’énergies renouvelables. Ce fut le cas le 29 mars, la chute des prix de l’électricité étant due à la baisse de la demande résultant des mesures prises pour faire face à la pandémie de Covid 19.
Au vu des circonstances liées à la crise du Covid-19, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) a décidé de prolonger les délais de réponse aux consultations publiques en cours. L’une d’entre elles concerne la fixation de la composante de soutirage pour les prochains tarifs d’utilisation des réseaux publics d’électricité « TURPE 6 ».
Le ministre de l’Energie algérien Mohamed Arkab vient de déclarer, sur la radio nationale, que l’Algérie avait signé un accord préliminaire avec l’Allemagne afin de lancer son projet Desertec.
Le Conseil supérieur de l’énergie (CSE) devrait recevoir pour examen le 28 avril un projet d’arrêté ministériel permettant d’étendre le périmètre et la puissance d’une opération d’autoconsommation collective. Ce projet d’arrêté a fuité avant son passage au CSE.
Une étude de Solarpower Europe et de l’université finlandaise l’Université de technologie Lappeenranta-Lahti (LUT) envisage trois cas différents de transformation du système énergétique européen. Le scénario le plus ambitieux, avec 100% d’énergie renouvelable et une forte proportion de photovoltaïque, pourrait être moins coûteux que les voies moins ambitieuses vers une Europe verte, estime l’étude.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.